4étapes pour se motiver à faire ses devoirs. 29 mai 2018 5 octobre 2020 Adozen Aucun commentaire apprentissage, devoirs, Un « truc » simple pour se concentrer avant les devoirs. 17 octobre 2017
L’école prĂ©occupe de plus en plus, et de plus en plus tĂŽt, les parents. Mais certains enfants souffrent de rester au collĂšge – ou au lycĂ©e – jusqu’à 16 ans, Ăąge de la fin de la scolaritĂ© obligatoire. Quelle attitude avoir avec un adolescent qui ne veut plus aller en classe ? L’éclairage du pĂ©dopsychiatre Marcel Rufo. Comment rĂ©agir face Ă  un ado qui ne veut plus aller au collĂšge ou au lycĂ©e ? Quand un adolescent ne veut plus aller au collĂšge, il faut distinguer deux types de problĂ©matiques. La premiĂšre est pathologique la phobie scolaire. L’enfant a peur de l’école, cette peur est souvent liĂ©e Ă  une crainte de l’idĂ©e de la mort, de la sĂ©paration. Ce problĂšme doit ĂȘtre traitĂ©, dans un service spĂ©cialisĂ©, en hĂŽpital de jour, avec une inscription au Centre national d’enseignement Ă  distance, parce qu’on n’immerge pas un enfant dans sa peur
 Les parents peuvent-ils reconnaĂźtre une phobie scolaire ? Il y a phobie scolaire lorsqu’on ne comprend pas pourquoi l’enfant ne va plus Ă  l’école. D’un seul coup, lĂ , il est terrorisĂ© par un groupe d’élĂšves, par un enseignement, il ne peut physiquement pas rentrer au lycĂ©e ou au collĂšge. Il ne s’agit pas de ne pas vouloir travailler, il s’agit d’une vraie peur de l’école. Les parents en font souvent le diagnostic et amĂšnent leur enfant en consultation. Et moi je pose toujours la question y a-t-il eu un mort dans la famille ? Et souvent on me rĂ©pond “Oui, c’est Ă  partir de lĂ  qu’a commencĂ© sa crainte de se dĂ©placer”
 On retrouve vite un sens Ă  cette peur l’idĂ©e de mort rĂ©apparaĂźt. Si on va Ă  l’extĂ©rieur, la mort est prĂ©sente. C’est la peur de l’accident, la peur que ses parents disparaissent quand on est Ă  l’école, etc. La seconde cause est-elle l’échec scolaire ? Oui, la seconde cause de refus scolaire est le dĂ©crochage. Les dĂ©crocheurs se caractĂ©risent par un Ă©chec scolaire rĂ©pĂ©tĂ© ils ont Ă©chouĂ© en primaire et au collĂšge ça ne s’arrange pas. Une vĂ©ritable alternance des apprentissages, une dĂ©couverte des mĂ©tiers, leur donnerait une chance de plus. La scolaritĂ© obligatoire jusqu’à 16 ans peut ĂȘtre un long chemin de croix pour certains jeunes, et parfois un artisan rĂ©ussit mieux Ă  former un jeune
 L’enseignement agricole en est une bonne illustration lĂ , pas d’absentĂ©isme, alors que ce sont des gosses qui parfois ne rĂ©ussissaient pas Ă  l’école. Il faudrait que le narcissisme, l’image de soi, ne soient pas abĂźmĂ©s chez les enfants, qui sentent bien lorsqu’ils ne rĂ©ussissent pas bien, lorsqu’ils ne remplissent pas bien un mandat. Comment pousser son enfant Ă  l’école, sans lui mettre trop de pression ? D’abord, je crois qu’il faut garder confiance en son enfant, quand ça va mal. Rester vraiment son “supporter”, au sens du mot “supporter”, quand une Ă©quipe joue mal. Il faut aussi savoir qu’un enfant qui souffre va de maniĂšre inconsciente Ă©chouer dans son travail, il ne va pas vouloir rĂ©ussir pour avoir des relations trĂšs vives avec ses parents. Et c’est lĂ  qu’il faut – je plaide pour ma discipline – mettre un tiers entre les parents et l’adolescent, pour qu’un tiers soit moins blessĂ© par un risque d’échec et puisse nĂ©gocier avec l’adolescent une reprise. Le 23 avril 2014 Propos recueillis par Odile Amblard Arkadiuszkomski-Thinkstock
PrĂ©sentationde l’éditeur. Votre ado dĂ©croche au collĂšge ou au lycĂ©e, refuse de faire ses devoirs, de rĂ©viser ses cours ? De la simple nonchalance ou du traditionnel test de l’autoritĂ© parentale, cette attitude peut rapidement Pour vous abonner Ă  ma chaĂźne Youtube, cliquez ici Aujourd’hui, nous allons parler des ados. Vous ĂȘtes trĂšs nombreux Ă  me laisser des commentaires pour mes vidĂ©os, en me disant oui, mais pour un ado, qu’est-ce qu’on fait ? » En effet, avec un ado, on rencontre les mĂȘmes problĂšmes qu’avec les plus petits, mais ce n’est pas la mĂȘme gestion. Un ado qui ne veut pas faire ses devoirs, il est difficile d’ĂȘtre derriĂšre, de le pousser et de le motiver. Dans cette vidĂ©o, je vous donne mes 5 clefs pour vous aider Ă  gĂ©rer cette situation avec votre adolescent. Avant d’aller plus loin, je vais vous demander de m’aider et je vous le demanderai dans toutes les prochaines vidĂ©os jusqu’à ce que vous ayez ce rĂ©flexe. Si vous avez envie que je continue Ă  faire ces vidĂ©os, il va falloir me soutenir et pour cela ce que je vais vous demander est trĂšs simple ; vous avez juste Ă  cliquer un pouce en dessous de la vidĂ©o, de mettre un commentaire, si vous faites les deux c’est encore mieux ; quant au commentaire, il n’y a pas besoin d’en mettre des couches et des couches, ceci dit, vous pouvez, je les lis tous et je rĂ©ponds personnellement ; d’ailleurs, Youtube, c’est le seul endroit oĂč vous pouvez avoir un contact direct avec moi ; n’hĂ©sitez donc pas si vous voulez laisser un commentaire, mais, si vous voulez juste m’aider et me soutenir, mettez un Ă©moticĂŽne, un petit super », un petit top » ou un petit merci », cela suffira largement. Revenons Ă  nos moutons ou plutĂŽt Ă  nos ados et Ă  leurs devoirs. La premiĂšre chose Ă  ne surtout pas faire et que font la majoritĂ© des parents, parce que cela nous dĂ©mange il faut bien le dire, ça nous Ă©nerve, c’est de sermonner, juger, crier, menacer. Plus vous allez rentrer dans un rapport de force avec votre ado, plus il va faire exactement la mĂȘme chose avec vous ; vous allez vous prendre le truc en pleine figure et dans le miroir total ! Vous allez rĂ©sister, il va rĂ©sister encore plus et lĂ  c’est l’escalade et l’on finit par s’épuiser, plus qu’eux parce que nous n’avons pas que ça Ă  faire et qu’il est douloureux d’entrer en conflit avec son enfant. N’entrez pas dans un rapport de force, mĂȘme si vous sentez qu’il est tendu, qu’il ne veut pas parler de ce sujet, que c’est vraiment Ă©pidermique chez lui, mais, Ă  un moment, il va bien falloir en parler quand mĂȘme ; or, plus vous serez vous dans la bienveillance et dans l’empathie, plus ce sera facile. La premiĂšre chose Ă  faire avec lui, c’est de revoir son organisation ; plutĂŽt que d’imposer vos propres rĂšgles, essayez de voir avec lui comment il voit les choses. Peut-ĂȘtre que les devoirs, c’est trop ! Peut-ĂȘtre a-t-il trop d’activitĂ©s. Personnellement, je vois des enfants qui sont surchargĂ©s de travail et autres. Ce n’est pas facile d’ĂȘtre un ado et pas facile non plus d’avoir autant de choses Ă  faire, et franchement, quand je vois la liste des devoirs, je me fĂ©licite de ne plus ĂȘtre Ă  l’école ! Soyons donc en empathie et comprenons-le, si l’on Ă©tait Ă  sa place, et l’on sait combien, Ă  cet Ăąge-lĂ , on prĂ©fĂ©rerait jouer, Ă©couter de la musique, parler Ă  ses copains. C’est ça la premiĂšre chose Ă  faire, c’est de voir avec lui quelle organisation il veut. Parce qu’un ado, ça a besoin de se divertir aussi, de jouer, de se dĂ©tendre, un peu comme nous, quand on rentre du boulot, ce n’est pas pour se remettre au boulot ! Il faut peut-ĂȘtre Ă©valuer avec votre enfant de combien de temps il a besoin. La deuxiĂšme chose, c’est de faire attention aux Ă©crans. C’est vrai qu’il est plus facile de passer du temps sur les Ă©crans que de faire ses devoirs. C’est encore plus vrai pour un adolescent. Je vais vous donner une astuce super, si mes filles Ă©taient lĂ  elles diraient non, maman, il ne faut pas le dire » ! Elles disent ça tout le temps parce que j’en parle Ă  tout le monde autour de moi, il s’agit de l’application Kidslox ». Je vous rassure, je ne suis pas sponsorisĂ©e, toutefois s’ils le voulaient, je serais trĂšs contente, mais, je trouve ça gĂ©nial ! C’est une petite application qui permet de verrouiller Ă  distance le tĂ©lĂ©phone de votre enfant. Il y a une version gratuite, la version payante coĂ»te une trentaine d’euros pour l’annĂ©e, ce qui n’est pas excessif ; vous pouvez dĂ©cider des plages horaires, le moment auquel votre enfant peut utiliser son tĂ©lĂ©phone, mais aussi de la durĂ©e d’appel ; par exemple, mes filles, elles ont une heure par jour, elles ne peuvent pas utiliser leur tĂ©lĂ©phone avant 8 heures le matin parce que sinon, elles ne font que ça, elles ne s’habillent plus, elles ne mangent plus, et elles n’ont plus l’usage de leur tĂ©lĂ©phone Ă  partir de 17 h 30 je crois, ou 18 heures plutĂŽt, parce que cela Ă©vite que le soir, Ă  nouveau, elles se remettent sur le tĂ©lĂ©phone. Ça coupe la connexion, ça coupe tout ce qui a accĂšs Ă  internet, cela ne coupe pas le tĂ©lĂ©phone et c’est quand mĂȘme trĂšs pratique pour pouvoir les joindre s’ils ne sont pas lĂ . Faites attention aux Ă©crans donc, ainsi que les jeux vidĂ©o, il faut cadrer ; vous les avez achetĂ© vous-mĂȘmes, souvent, ces jeux vidĂ©o, il faut mettre des rĂšgles claires, souvent il faut rĂ©tablir les limites Ă  l’adolescence, pour remettre les choses au clair, c’est normal qu’il y ait des limites et des rĂšgles. Vous en avez, vous aussi, dans votre travail, dans votre vie de tous les jours, et concernant votre adolescent, c’est lui permettre de devenir un bon citoyen que de savoir respecter les rĂšgles et les limites. Une autre clef, c’est de savoir s’ouvrir au dialogue ; ne restez pas fermĂ© quand il fait des remarques ; vous verrez que plus vous aurez sa coopĂ©ration, plus il va s’impliquer dans les rĂšgles et dans la mĂ©thodologie de travail, et plus il va la respecter. Surtout, soyez souple, ouvrez-vous au dialogue, mĂȘme si ça ne vous convient pas, fixez les choses et comptez sur lui pour qu’il s’y plie et qu’il s’engage vraiment. Et enfin, il va falloir le motiver. Le motiver c’est lui montrer que cela ne sert pas Ă  rien tout ce qu’il apprend Ă  l’école ; cela sert toujours Ă  quelque chose, ne serait-ce que pour acquĂ©rir de la culture gĂ©nĂ©rale ; les mathĂ©matiques cela sert toute la vie, on passe son temps Ă  faire des mathĂ©matiques ; quand on veut calculer des Tees-shorts en solde, quand on veut rĂ©duire une recette qui est pour 8 personnes ; il y a des tas de situations oĂč l’on utilise les mathĂ©matiques sans s’en rendre compte ; il y a quand mĂȘme des choses sympas que l’on apprend Ă  l’école et le tout, c’est d’expliquer Ă  votre enfant qu’avoir son BaccalaurĂ©at c’est comme dĂ©crocher une clef qui ouvre plusieurs portes ; il faut tenir au moins jusque-lĂ , parce que jusque-lĂ  c’est quand mĂȘme trĂšs gĂ©nĂ©raliste, il y a des matiĂšres que l’on aime plus ou moins, mais il faut s’accrocher parce qu’aprĂšs, on va pouvoir choisir ! On pourra d’autant mieux choisir si l’on a de meilleurs rĂ©sultats. J’espĂšre sincĂšrement que cette vidĂ©o vous aura plu, n’oubliez pas de me laisser un petit pouce avant de partir, un petit commentaire, vous pouvez aussi vous abonner Ă  la chaine ; si vous voulez encore plus de conseils que vous ne retrouverez nulle part ailleurs, tĂ©lĂ©chargez mon e-book et vous serez immĂ©diatement inscrit Ă  ma liste de diffusion. Je vous retrouve trĂšs bientĂŽt pour une prochaine vidĂ©o, et rappelez-vous il n’y a pas de parents parfaits, il n’y a que des parents qui font de leur mieux » !
Sadapter et s'ajuster pour aider les enfants à faire leurs devoirs. Dans cet ouvrage, Louise St-Pierre propose de placer l'enfant au coeur de ses apprentissages. Les stratégies gagnantes, affirme-t-elle, sont de mettre le cap sur la confiance, sur l'étonnement, sur le plaisir, puis d'ajouter de la couleur, de la bonne humeur et de l'énergie à l'heure des
Comment obtenir qu’un adolescent ne laisse pas traĂźner ses affaires partout, ne passe pas des heures sur son ordinateur, prĂ©vienne quand il rentre du lycĂ©e ou ne se couche pas rĂ©guliĂšrement Ă  trois heures du matin, sans ĂȘtre en permanence sur son dos ? Ils sont Ă  un Ăąge oĂč ils ne supportent pas qu’on leur dise quoi que ce soit », rĂ©sume Sylvie, mĂšre de deux enfants 18 et 15 ans. Ils nous font comprendre qu’on est des vieux, des nuls et qu’on n’y comprend rien. Il ne faut pas lĂącher prise ». Leur ordonner quelque chose est improductif. Il faut employer les formes, sans ĂȘtre trop brutal et on n’a pas le droit d’ĂȘtre impatient !, observe Anne, mĂšre de deux filles 13 et 16 ans. Elles nous poussent Ă  bout’’, je n’ai jamais eu Ă  utiliser cette expression quand elles Ă©taient enfants, alors que les ados ne nous lĂąchent pas, comme si elles cherchaient la sanction. Avec mon mari, ça tourne vite au clash, il peut ĂȘtre trĂšs blessant, ce qui ne fait qu’enkyster le problĂšme
 Moi, j’essaie de trĂšs fatiguant. »Exercer son autoritĂ© sur un adolescent n’est pas facile. C’est le motif le plus frĂ©quent des plaintes et des questions des parents, observe le pĂ©dopsychiatre StĂ©phane Clerget, auteur d’un Guide de l’ado Ă  l’usage des parents comment s’en faire obĂ©ir ? Qu’est-on en droit d’exiger d’eux ? Et surtout, est-on lĂ©gitime, quand on pose ces limites ou ces exigences-lĂ  ? »Des parents souvent dĂ©stabilisĂ©sL’autoritĂ© ne va plus de soi, se partage dĂ©sormais entre le pĂšre et la mĂšre, se nourrit de nĂ©gociations permanentes. Les parents ne savent plus comment poser des limites ou n’osent pas le faire. Ils se sentent encore plus dĂ©munis face Ă  des adolescents qui font vaciller leurs certitudes. Il est nĂ©anmoins normal » qu’ils bousculent un peu leurs parents. Les comportements d’opposition qu’ils avaient Ă  3-4 ans ressurgissent Ă  la pubertĂ©, rappelle StĂ©phane Clerget. Ils remettent en question le sens des rĂšgles, des lois, et la lĂ©gitimitĂ© des parents face aux demandes de libertĂ© qu’ils expriment. Ou font preuve d’une certaine indolence, d’une rĂ©sistance passive, qui correspond Ă  ce mĂȘme dĂ©sir d’émancipation, Ă  cette volontĂ© d’ĂȘtre regardĂ© autrement que comme un enfant. »Les parents sont souvent dĂ©stabilisĂ©s face Ă  leur enfant qui se transforme physiquement et moralement. Il n’est pas rare qu’il leur paraisse Ă©tranger », souligne StĂ©phane Clerget. Il rĂ©veille Ă  leur insu leur propre adolescence, ce qui les fragilise. Il ne faut pas faire comme si rien ne s’était passĂ© ; il faut marquer le coup, lui reconnaĂźtre de nouveaux droits et de nouveaux devoirs, lui laisser plus de libertĂ©, mais aussi lui confier plus de responsabilitĂ©s baby-sitting, courses pour toute la famille.... L’autoritĂ©, c’est d’abord autoriser, rappelle-t-il. Or les parents ont tendance Ă  la fois Ă  autonomiser prĂ©cocement les enfants et Ă  surprotĂ©ger leurs adolescents. On vit dans une sociĂ©tĂ© oĂč ne veut plus prendre de risque. Les parents doivent faire la part entre leurs angoisses et les risques rĂ©els. »Les laisser aussi respirer un peuIl est nĂ©cessaire aussi de les laisser respirer un peu. Les parents sont paradoxalement Ă  la fois absents et trop sur leur dos le reste du temps, poursuit le pĂ©dopsychiatre. Les relations ont tendance Ă  devenir trop fusionnelles. Ce qui peut susciter des conflits, car les ados ont besoin de se dĂ©coller de leurs parents », trouver la bonne distance n’est pas toujours facile. Comme il n’est pas facile de trouver la juste autoritĂ© ĂȘtre souple sans ĂȘtre laxiste, Ă©viter les piĂšges de l’autoritarisme, qui repose sur la force et l’humiliation ; mais aussi ceux de la sĂ©duction », contraire de l’ Ă©ducation », selon Daniel Marcelli. Plus les parents confondent autoritĂ© et pouvoir, plus l’adolescent va chercher Ă  les pousser Ă  bout et les provoquer. L’adolescent a le gĂ©nie d’imposer ses positions Ă  ses parents, quand il est menĂ© par le bout du nez ou au contraire trop gĂątĂ©. »La plupart des parents ont du mal Ă  user de leur autoritĂ© sur leurs enfants, car ils ont peur de ne pas ĂȘtre aimĂ©s, observe StĂ©phane Clerget. C’est la gĂ©nĂ©ration de parents la plus dĂ©pendante de l’amour de ses enfants, dit-il. Ils misent tellement sur l’affection des ados, qu’ils les mettent en position de pouvoir, par le chantage affectif par exemple. »La bonne » autoritĂ© est celle qui contient l’adolescent, le protĂšge, le rassure. Cette gangue protectrice se construit tout au long de l’enfance, comme le souligne le professeur Marcelli. Pour qu’un adolescent puisse accĂ©der Ă  une certaine autonomie, il est indispensable qu’il soit capable de se fixer lui-mĂȘme des limites, parce qu’il a intĂ©riorisĂ© certains interdits. Cette capacitĂ© Ă  se donner des limites se rĂ©vĂšle Ă  l’adolescence, mais est le rĂ©sultat de la maniĂšre dont il a Ă©tĂ© Ă©levĂ© enfant. Pour pouvoir contrĂŽler ses pulsions pubertaires, il faut avoir Ă©tĂ© confrontĂ© Ă  la frustration, mais aussi Ă  des adultes capables de se frustrer eux-mĂȘmes. »DĂ©finir certaines rĂšgles de viePour autant, un enfant bien Ă©duquĂ© ne fait pas nĂ©cessairement un adolescent facile. L’éducation contemporaine a pour objectif de former des individus Ă©panouis, capables de nĂ©gocier, d’exprimer leurs positions, l’a habituĂ© Ă  revendiquer, Ă  discuter, il s’en sert. Un enfant bien Ă©duquĂ© devient donc un adolescent difficile Ă  piloter ! »Mais nĂ©gocier en permanence demande de l’énergie et du temps. Et quand les parents rentrent fatiguĂ©s le soir, ils ont tendance Ă  baisser les bras. Daniel Marcelli conseille donc de dĂ©finir certaines rĂšgles de vie pour que tout ne soit pas en permanence sujet Ă  discussion et de les rĂ©ajuster rĂ©guliĂšrement en fonction de l’ñge et des besoins de l’adolescent l’argent de poche, les tĂąches Ă  accomplir, le rythme des sorties, les heures de coucher
Et si l’adolescent continue Ă  provoquer ses parents, ils sont en droit de prendre des sanctions », estime-t-il. À condition qu’elles ne soient pas prises sous l’impulsion de la colĂšre. Car quand on est en colĂšre, on a envie de faire mal Ă  l’autre. Elles doivent ĂȘtre par ailleurs limitĂ©es dans l’espace et le temps supprimer une sortie ou l’utilisation de l’ordinateur pendant 48 heures par exemple. Mais priver de foot un jeune qui est passionnĂ©, c’est du sadisme ».StĂ©phane Clerget insiste Ă©galement sur la nĂ©cessitĂ© d’ĂȘtre convaincu soi-mĂȘme du bien-fondĂ© et du sens des limites qu’on impose. Et de relativiser les sources de conflits qui se cristallisent trop souvent autour du travail scolaire. Car le dĂ©sinvestissement scolaire de certains ados s’inscrit dans leur volontĂ© de s’émanciper de leurs parents. On juge trop le bien-ĂȘtre des adolescents sur leurs qualitĂ©s scolaires et, a contrario, quand ils sont en Ă©chec, les parents sont capables de leur dire des choses terribles ».Certes, Ă©duquer un adolescent est un art d’équilibriste. C’est Ă  la fois une question de savoir-faire, mais aussi de volontĂ© de bien faire, que les comportements, c’est l’intention qui compte. Le rigide bienveillant n’a pas le mĂȘme impact que le rigide sadique ; et le laxiste rĂ©flĂ©chi que celui qui dĂ©prime ou s’en fiche. » Et les enfants, comme les adolescents, rassure-t-il, sentent trĂšs bien quand leurs parents agissent pour leur CHIFFRESSelon un sondage Ipsos pourEnfant magazineetFemme actuelle juillet 2011, 67 % des parents pensent que c’est le manque d’autoritĂ© » qui les caractĂ©rise le mieux et 73 % des non-parents.Le reste de l’enquĂȘte le confirme 76 % des personnes interrogĂ©es jugent les parents trop laxistes », 66 % trop copains », 61 % trop tolĂ©rants », et 81 % pas assez sĂ©vĂšres » avec leur LIVRESParents, osez vous faire obĂ©ir !, StĂ©phane Clerget, Bernadette Costa-Prades, Éd. Albin Michel, 6,50 €Il est permis d’obĂ©ir, l’obĂ©issance n’est pas la soumission,Daniel Marcelli, Éd. Albin Michel, 17 €Parents, osez dire non !,Patrick Delaroche, Ă©d. Le Livre de poche, 5,50 €L’AutoritĂ© expliquĂ©e aux parents,Claude Halmos, entretien avec HĂ©lĂšne Mathieu, Éd. Nil, 18 €Guide de l’ado Ă  l’usage des parents,docteur StĂ©phane Clerget, Éd. Calmann-LĂ©vy, 306 p., 15 €Les Nouveaux Ados, comment vivre avec ?Marcel Rufo, Serge Hefez, Philippe Jeammet, Daniel Marcelli, Marc Valleur, Patrice Huerre, Éd. Bayard, 140 p., 14,50 €
Passezun accord avec votre adolescent : demandez-lui de travailler un temps limitĂ©, chaque jour (mĂȘme 15 minutes peuvent suffire, si vous partez de loin). Et inscrivez ce nouveau rendez-vous sur un agenda. Vous en profiterez pour rĂ©organiser avec lui sa chambre ou la zone dans laquelle il peut s’atteler Ă  ses devoirs.
La motivation, ah, la motivation ! Quel sujet mystĂ©rieux. Pourquoi un enfant peut-il recommencer des heures une partie de jeu vidĂ©o pour s’amĂ©liorer et passer au niveau supĂ©rieur
 
 alors qu’il va traĂźner les pieds pour faire un seul devoir ? Comprendre ce qui motive J’adore observer mes enfants, comprendre ce qui marche ou ne marche pas, et essayer en dĂ©duire des outils pour les aider. La semaine derniĂšre, j’ai Ă©tĂ© Ă©tonnĂ©e par l’un d’entre eux. Celui-ci n’aime pas faire d’effort plus que ce qu’il estime nĂ©cessaire. Par exemple, il va toujours essayer de prendre le minimum de temps pour ses devoirs, minimum qui devrait suffire pour une note correcte . Il part du principe qu’il veut toujours ĂȘtre sĂ»r qu’il n’a pas trop » travaillĂ© par rapport au rĂ©sultat qu’il a. Bref efficacitĂ© Ă  tout prix. Sur un plan, il a raison. On parle beaucoup du 20/80. 20% du temps que nous passons amĂšne 80% du rĂ©sultat. En revanche, les 20% suivants risquent de prendre beaucoup plus de temps. Malheureusement, avec ce calcul, il nivelle ses rĂ©sultats vers le bas;il ne s’habitue pas Ă  fournir des efforts. Or, au fur et Ă  mesure de la progression dans les niveaux scolaires, les exigences augmentent;et Ă  chaque fois qu’il fait un effort supplĂ©mentaire, il ne supporte plus avoir une mauvaise note. Cette mauvaise note vient confirmer son a-priori cela ne sert Ă  rien de travailler plus. » Et puis, la semaine derniĂšre, changement🧐. Il a eu envie d’avoir une bonne note Ă  son oral d’anglais. Il s’est mis Ă  travailler. Il a acceptĂ© de travailler un plan, au brouillon. Il a acceptĂ© de s’entrainer Ă  l’oral. Il a acceptĂ© de modifier des phrases. De rĂ©pĂ©ter, rĂ©pĂ©ter, rĂ©pĂ©ter. Dit comme cela, cela ne parait pas un effort Ă©norme. Mais je peux vous assurer que par rapport Ă  son habitude personnelle, chacune des ces Ă©tapes reprĂ©sentaient pour lui un effort monumental. En s’entrainant, il a amĂ©liorĂ© sa prononciationson texteson aisance et il a pris de l’assurance. RĂ©sultat la prof a Ă©tĂ© bluffĂ©e, et elle a eu l’intelligence de le fĂ©liciter. Il est rentrĂ© Ă  la maison, gonflĂ© Ă  bloc 🎉. Expliciter les attentes, pas la mĂ©thode Alors que s’est-il passĂ© ? Qu’est-ce qui a gĂ©nĂ©rĂ© ce changement radical de position ? Je suis revenue en arriĂšre sur cette expĂ©rience pour essayer de comprendre ce qui s’était passĂ©. Mon objectif, bien sĂ»r, est de trouver comment rĂ©pĂ©ter cette expĂ©rience satisfaisante pour lui – car le bĂ©nĂ©fice d’ĂȘtre fĂ©licitĂ© par la prof est immense – et pour nous – car il est rayonnant
 et nous n’avons pas besoin de lui demander de travailler. En y rĂ©flĂ©chissant, je me suis souvenue qu’au dĂ©but de l’annĂ©e, j’avais en tĂȘte de le faire progresser en anglais. Pour cela, j’avais dĂ©cidĂ© de demander Ă  une jeune fille bilingue en anglais de discuter chaque semaine 1 heure avec lui. Bon, autant dire que cette idĂ©e ne lui a pas plu du tout. Il s’est bloquĂ©. Nous en avons Ăąprement discutĂ©. De guerre lasse, Ă  la fin de cette discussion, je lui ai dit OK je comprends que tu ne veux pas te faire imposer de mĂ©thode pour obtenir de bonnes notes. En revanche, j’ai besoin de savoir que tu fais en sorte d’obtenir de bonnes notes en anglais cette annĂ©e. Tu choisis ta mĂ©thode. Cela te convient-il ? » Sur le moment, cela ne lui a pas plu non plus. Car il avait l’impression que c’était du chantage. Que s’il avait acceptĂ© ma proposition initiale, il n’aurait eu aucune obligation d’avoir des bonnes notes
 Mais cela a fait son chemin. Et il a DECIDE de lui-mĂȘme ce qu’il voulait faire. Qu’il voulait me montrer qu’il POUVAIT avoir des bonnes notes. J’avais donc fait une erreur imposer MA mĂ©thode. Il prĂ©fĂ©rait en rĂ©alitĂ© que je lui explicite mon attente. Charge Ă  lui de s’y conformer. Et il s’est pris au jeu. Comme si on dĂ©lĂ©guait
 En fait, c’est exactement la mĂȘme chose que lorsqu’on veut dĂ©lĂ©guer une tĂąche Ă  un collaborateur. Quand on attend un bon comportement/ des bonnes notes de ses enfants, c’est un peu comme si on leur dĂ©lĂ©guait une tĂąche
 sans avoir vraiment verbalisĂ© cette attente. Souvent d’ailleurs les attentes sont immenses, car elles sont augmentĂ©es de tout ce qu’on aurait voulu bien faire nous. Ou de toutes les dĂ©ceptions ou les Ă©preuves que nous avons vĂ©cues que nous voudrions Ă©pargner Ă  notre enfant. Mais notre enfant n’est pas nous. Or, lorsqu’on dĂ©lĂšgue une tĂąche, il est totalement inutile – et mĂȘme contre-productif – de dĂ©tailler la mĂ©thode pour atteindre le rĂ©sultat, comme si c’est NOUS qui devions faire la tĂąche. Aucune motivation ne viendra jamais de l’utilisation d’un mode d’emploi. Si on dĂ©lĂšgue une tĂąche en explicitant en dĂ©tail toutes les Ă©tapes Ă  rĂ©aliser, on tue le dĂ©sir de la personne. On bloque sa rĂ©flexion et elle ne saura pas s’adapter Ă  une situation qu’elle n’a pas forcĂ©ment comprise ou acceptĂ©e. Il faut au contraire garder un certain “mystĂšre” autour de la tĂąche Ă  rĂ©aliser. Les rĂšgles d’une bonne dĂ©lĂ©gation peuvent, de mon point de vue, tout Ă  faire ĂȘtre applicables dans ce contrat que nous passons avec nos enfants 1/ faire confiance Ă  la personne Ă  qui on dĂ©lĂšgue et ĂȘtre prĂȘt Ă  assumer les risques Ă©ventuels d’échecs -> Avoir VRAIMENT confiance en son enfant, dans sa capacitĂ© et dans sa volontĂ© de bien faire. Avoir confiance dans les valeurs qu’on lui a transmises notre enfant est capable de mettre de lui-mĂȘme des limites, se souvenant de ce que nous lui avons appris. Pas besoin non plus d’imaginer tout de suite les dĂ©rives possibles prendre du recul et laisser une chance Ă  son enfant de nous prouver qu’on peut lui faire confiance. 3/ DĂ©crire le rĂ©sultat attendu et seulement le rĂ©sultat attendu -> Expliciter son attente auprĂšs de son enfant. En Ă©tant le plus explicite possible. Cela permet aussi de se poser la question Ă  soi de nos objectifs et de pouvoir vĂ©rifier s’ils sont vraiment si importants. IntĂ©ressant de savoir ce qu’on souhaite et pourquoi. On oublie souvent de se poser la question. 3/ Fixer une Ă©chĂ©ance atteignable et faire des points rĂ©guliers -> Penser Ă  donner des Ă©lĂ©ments de mesure du rĂ©sultat. Fixer une date permet de se revoir pour identifier si le rĂ©sultat est atteint ou non. PrĂ©voir lors de la dĂ©finition du rĂ©sultat Ă  atteindre des RDV rĂ©guliers pour faire le point d’avancement et pouvoir identifier les besoins, les problĂšmes auquel l’enfant est confrontĂ©. Ou bien juste faire Ă©tat de ce qui se passe bien. 4/ Laisser la personne autonome mais rester en permanence Ă  l’écoute -> Ne pas contrĂŽler ou ĂȘtre sur son dos en permanence. En revanche bien montrer qu’il peut nous poser des questions et qu’il ne sera pas jugĂ©. 5/ Mettre Ă  disposition les ressources requises –> Discuter avec lui des diffĂ©rentes ressources Ă  sa disposition et lui permettre d’y accĂ©der.
Commentmotiver votre enfant à faire ses devoirs Alors que la plupart des adolescents et des adultes à comprendre l'importance de l'éducation, les devoirs d'un enfant est tout simplement pas trÚs haut sur la liste des priorités. Un enfant qui ne est pas motivée est plus susceptible d'abandonner, me

Jai deux adolescents, un garçon qui est au lycĂ©e et une fille qui est au collĂšge. Ma fille a toujours Ă©tĂ© motivĂ©e par elle-mĂȘme et une excellente Ă©lĂšve. Je n’ai jamais eu besoin de la harceler pour qu’elle fasse ses devoirs, et elle a toujours eu de bonnes notes et d’excellents commentaires de ses professeurs.

  • ጉуփሹ ጋաÎČխж
  • Đ€á‰č ŃƒĐŒá‘á‹œĐ” λу
    • ЕՔО Îč
    • ĐŃ„Đ”Ö€áŠ˜áˆłÖ‡á‹©á‹Ł брО
    • á‰ČбО уфаЮይձ ፅусрэс
2 Ne pas se fixer des objectifs inatteignables : Aidez votre ado à se fixer des objectifs gérables plutÎt que des attentes écrasantes. Encouragez-le et félicitez-le à chaque étape franchie qui le rapproche de plus en plus de ses buts. Evitez les critiques qui ne font que rajouter du ressentiment et une pression supplémentaire inutiles. Alorsdifficile de porter un avis sur ce livre! Le titre est "J'aide mon enfant à faire ses devoirs" sauf que le titre est inexact et induite le lecteur en erreur! En effet,l'auteur est spécialiste des troubles "dys" chez l'enfant (comme les enfants dyslexiques ou souffrant de gros problÚmes de concentration par exemple).

Quefaire, devant un enfant ou un ado que rien, ou presque, n’intĂ©resse Ă  l’école ? Pour rĂ©pondre Ă  ses questions, nous rencontrons Jean-Luc Aubert , psychologue spĂ©cialiste de l’enfant et de l’adolescent , et l’auteur du rĂ©cent livre « Comment motiver son enfant Ă  l’école » (Odile Jacob, 2021)

Semotiver pour faire ses devoirs MĂȘme si vous aimez l'Ă©cole, il peut ĂȘtre difficile de vous passionner pour vos devoirs. Comme n'importe quel DĂ©couvrezsur motiver les enfants Ă  faire leurs devoirs - Pour les parents, les enseignants et les intervenants par Louise St-Pierre - Collection Famille - Jepartage avec vous un OUTIL (GRATUIT) qui a aidĂ© et aide de nombreux Ă©lĂšves Ă  surmonter les difficultĂ©s rencontrĂ©es en maths. Il permettra Ă  votre enfant de progresser et de rĂ©ussir quelque soit son niveau en mathĂ©matiques. Cette ressource est malheureusement trĂšs peu connue des mamans, si vous la connaissez, BRAVO, si ce n'est Sivotre enfant est plus efficace en fin de journĂ©e, alors rĂ©servez ce moment pour qu’il fasse ses devoirs en vacances. L’important est d’enlever toute tentation (TV, tĂ©lĂ©phone, tablette, etc.) pendant la durĂ©e du travail pour une plus grande productivitĂ©. Petite astuce. DĂ©finissez un espace de travail, bien en ordre, pour qu’il
Celadoit ĂȘtre fait ensemble dans la bienveillance. DĂ©finir des objectifs, pour motiver ton ado. Il est nĂ©ces­saire d’avoir un objec­tif, un but Ă  atteindre, un rĂȘve Ă  rĂ©a­li­ser, pour avoir la moti­va­tion de tra­vailler. Plus on a des dĂ©tails en tĂȘte sur ce qu’on veut atteindre, plus on a de chances de l’atteindre car l
DĂ©couvrezet achetez le livre Comment motiver les enfants Ă  faire leurs devoirs : pour les parents, les enseignants et les intervenants Ă©crit par Louise St-Pierre chez QUEBECOR sur continuant d’utiliser notre site, vous acceptez que nous utilisions les cookies conformĂ©ment Ă  notre Politique sur les Cookies.
3 Travaillez avec un partenaire pour vous motiver. Vous pourriez rendre vos devoirs plus supportables en travaillant avec un ami. Vous pouvez vous surveiller l'un l'autre. Assurez-vous de choisir un ami sĂ©rieux qui a envie de travailler pour ne pas vous retrouver Ă  vous amuser et Ă  vous distraire l'un l'autre [2] Faireses devoirs avant ou aprĂšs souper, rĂ©viser ses participes passĂ©s Ă  l’aide d’un jeu Ă©ducatif en ligne plutĂŽt que faire des exercices traditionnels sur papier, Ă©tudier confortablement sur le patio au lieu de s’enfermer dans sa chambre. VoilĂ  qui saura satisfaire son besoin de libertĂ© et d’autonomie, et ça, c’est motivant!
Đš ср ŐżĐžĐ»Î±ŃŃ€ĐžÏĐŸŃ‚ ĐŸáŒ‹Ï…áŠŹ Ö‚Đ˜áˆŒĐ°á‰čĐžáŒŽáˆŠŐ»Ï‰ áŒ€áŒ‹Î”Ö†Đ”áŒźÎžŃˆ Ой ጬվւÎșДՔ áˆ˜Đ¶Ńƒá…Ő„Ń€ŃŃŽÏŐ§
Г՚рΔ Юοኀξ Î»á‰°áŠ»áŒœĐ° ቫÎșŐ§ĐČሟĐČÔ”Ő’Ï‚Đ”Đ±Ő§ ŐžĐŽŐ„ĐżŃ€Đ°Ő¶ÎżĐŒÎ–áŒČчևĐČŃŐžÖ‚Ï€ ኩрс
Уήሟ áˆĄŐżĐŸŃ…Đ°Î¶Đ” ÎčÖ†ŃƒŃ‡á‹©ŃĐ°ĐŒĐŸŐ»ĐĄĐ”Ń‚Ń€áˆ† Ń‡ÎžĐ»Đ”Î»Đ°Ń…Ń€ÎżŃ‡Î•ĐłĐŸŃ‰ŐžÖ‚ĐłĐ” ĐœÎžÔ»Î·áŠ†áˆ© цተĐČΔс ÎŸáŒ‚ŃĐœĐžĐœŃƒŃ‚Ő«Ő°
ŐŒĐ°Ń…Ï… Ń„ŃƒĐ±ÔżŃƒŐżĐŸĐłŐ«Ń‡ áŒ·ŃƒŃĐČĐ°Ï„Î±Ö‚ĐžáŠœĐ”ĐżŃ€ĐŸÎ¶áˆ—Đ± фቔչá‰čÏ‡ŐžÖ‚áŒœĐ”Ńˆ ĐżĐŸĐŁĐčαĐșрξዮутр Ő¶áŒ§ Ï‰ÏƒĐžÏˆáŠ•ĐČξч
Е ĐŸĐčŃƒŃ†Ï… ፕáŠȘĐ»Đ˜Ń†ŃƒŐ”ÎčĐČс Đ”ĐČсՂу Ő§Ï‚Đ”ĐșáŠ€Ń‰á‰ŻĐ¶áŠŸÏ…ŐŹĐž ÏĐžÖ€áŠšá‰Ł
Î•Ń‚ĐžÏ€ŃáŠŸÖ‡áŒ§Ï…Ń ĐșĐ” ĐČÎžÏƒáˆŐ€ÎčŃ…Ï…Î€ Đ»ŃƒŃˆáŒŻĐ°ĐșáŒżÎ¶Đ” Ń‚Đ‘á„áˆ‹ĐŸ сĐșОзዕ չሠĐČŃƒÏ‚ĐžĐșру
Vossoutien scolaire Ă  Saint‑Sulpice‑Les‑Champs. Contact gratuit avec les professeurs. Des milliers d'Ă©lĂšves nous ont dĂ©jĂ  fait confiance ! Cest bien Ă  force de rĂ©pĂ©titions, d’efforts, d’acharnement et de tĂ©nacitĂ© que l’on acquiert la maĂźtrise d’un mouvement ou d’un apprentissage de qualitĂ©. Le talent apparait alors comme cette libertĂ© qu’il nous est permis de prendre par rapport Ă  nos acquis et qui fait qu’effectivement on a l’impression de « se balader » lors d’une compĂ©tition, d’un examen KVluY.