27contributions pour dessiner demain. Chacun de nous a trouvé son pied mère pour y poser son greffon. Au gré de mes humeurs, au gré de mes lectures et de ma curiosité, je suis allé chercher le pied mère et de greffon de chacun. Alexandre Adler s’est penché sur la cité, il nous dit comment le monde va se ré-urbaniser, esquissant des projets globaux d’aménagement du territoire
Annonçant avec une précision stupéfiante le monde dans lequel nous vivons - jusqu'à la crise du coronavirus -, ce texte visionnaire nous donne à la fois les clefs pour comprendre et les armes pour vaincre l'adversité. " Avec une crise financière sans précédent, au moins de puis 1929, un réchauffement de la planète unanimement constaté, la crainte de bouleversements bio-politiques, dans des domaines aussi variés que l'eau, l'énergie, l'agriculture ou même les épidémies, notre monde actuel n'incite pas toujours à l'optimisme béat. Pourtant, une prospective plus approfondie et moins terrorisée nous ouvre de nombreuses pistes, par lesquelles l'Humanité du XXIe siècle devrait quand même parvenir à dégager des solutions. Il s'agira surtout de réduire la part guerrière de notre géopolitique au bénéfice des échanges, de l'innovation technologique ainsi que du développement durable. Ces sont ces prospectives à court et à moyen terme qu'explorent à nouveau les spécialistes du renseignement américain. Les experts qui ont travaillé sur ce rapport pendant plusieurs années et ont cette fois étendu considérablement le champ de leurs investigations, fournissent au président Obama une sorte de viatique pour entreprendre le changement planétaire que tout le monde attend. " Alexandre Adler Terrorisme en retrait, glissement du pouvoir économique de l'Occident à l'Orient, pénurie d'eau, déclin des ressources en hydrocarbures, nouvelles technologies... Une fois de plus un document passionnant qui nous éclaire sur le monde qui nous attend dans les prochaines décennies, et où surtout, pour la première fois, les américains reconnaissent qu'ils ne seront plus les maîtres du monde ! Dans sa présentation, Alexandre Adler explore, en lever de rideau, les plus grands dangers géopolitiques actuels et suggère quelques moyens de les prévenir, pendant qu'il est encore temps.
Découvrezet achetez Le nouveau rapport de la CIA, comment sera le m - Alexandre Adler - Robert Laffont sur librairiegeosphere.com. S'identifier; 7 425. Références en stock. découvrez. notre librairie. Panier Rechercher Recherche avancée. Conseils de lecture; Dossiers; Rencontres; × Le nouveau rapport de la CIA. Informations; EAN13 9782221112946 ISBN 4-6
France Culture Émotions, habitudes, politique, géopolitique le "monde d'après" sera-t-il si différent du nôtre ? France Culture Comment penser la science après le confinement ? France Culture Philippe Aghion France Culture La pensée à l’épreuve de la pandémie France Culture Rue de Rivoli, le 22 mars 2020 France Culture Dans le monde d'après, la culture s'effondre. Et si dans le monde de demain, nous la repensions comme une page blanche ou un rêve éveillé ? France Culture et si l'histoire de l'énergie s'était écrite autrement... France Culture Un argentin porte un masque aux couleurs de son pays - 22/04/2020 France Culture Le lauréat du Prix Goncourt Mathias Enard est l'invité des Matins France Culture Que sera l'Après confinement ImagineDemain France Culture Demain des coronapistes partout ? Kezako ? Des aménagements d’urgence, pour trouver une alternative aux transports en commun, dans la perspective du déconfinement... France Culture Après le temps de la sidération, le temps du "dégel" France Culture A quoi ressemble un "imaginaire désirable" ? France Culture Info20 avril 2020 France Culture La crise actuelle pourrait voir le passage du leadership mondial de Washington à Pékin. Ou pas... France Culture dans le monde d'après, mieux vaut savoir bricoler France Culture Travailleurs migrants, New Delhi, Inde 28 mars 2020 France Culture La prévision est un art difficile, surtout en ce qui concerne l’avenir. Pierre Dac France Culture La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen et le président du Conseil européen Charles Michel donnent une conférence de presse après une vidéoconférence des dirigeants du G7 sur la COVID-19, Bruxelles, le 16 mars 2020. France Culture Info9 avril 2020 France Culture Il existe deux types de crises celles auxquelles nous ne pouvions pas nous préparer car personne ne les avait imaginées, et celles auxquelles nous aurions dû être préparés car elles étaient attendues. France Culture Lutter seul contre le Covid-19 est-il possible ? La crise sanitaire semble remettre le multilatéralisme sur le devant de la scène. France Culture Retrouverons-nous le chemin des centres commerciaux dès que le confinement des populations prendra fin ? France Culture Info6 avril 2020 France Culture Le "monde d’après", tout le monde a sa petite idée sur la forme qu'il prendra... France Culture Comment sortir du tunnel ? quenous sommes, nous autres européens, ne voyons pas venir tous ces changements. Le plus flagrant a trait à la démogra-phie. Une immigration de toutes origines fera que le « nouveau monde » est désor-mais un « autre monde ». Demain les élites économiques, politiques, médiatiques seront colonisées par ces Américains du troisième type. Mais avec les Indiens à
Ce document est exceptionnel, unique même. Pour la première fois, le public a accès aux recherches et aux analyses des meilleurs géopoliticiens de la CIA. Quelle sera la carte du monde dans dix ans ? dans trente ans ? Quelle sera l'issue de la guerre mondiale diffuse que nous vivons actuellement ? Le terrorisme va-t-il s'amplifier ? La montée de la Chine et de l'Inde sera-t-elle progressive ou violente ? Verra-t-on l'effondrement de l'hégémonie américaine ? La mondialisation, apparemment irréversible, imposera-t-elle le modèle occidental ? Entre alarmisme et espérance, les auteurs de ce rapport - historiens, militaires, diplomates - proposent la lecture la plus fine, lucide et vraisemblable du monde de demain. Sommaire La carte du monde futur Les contradictions de la mondialisation Une économie en voie d'expansion et d'intégration La révolution technologique Des inégalités sociales persistantes Scénario-fiction le monde selon Davos Puissances émergentes un paysage géopolitique en mutation La montée de l'Asie D'autres Etats émergents oe Les puissances " vieillissantes " Des demandes énergétiques croissantes La puissance unipolaire des Etats-Unis - combien de temps peut-elle durer oe Scénario-fiction pax Americana Les nouveaux défis de la gouvernance Un coup d'arrêt aux progrès de la démocratisation Pratiques identitaires Scénario-fiction un nouveau califat Une insécurité omniprésente La transmutation du terrorisme international L'intensification des conflits internes Puissances montantes le combustible des conflits oe Le facteur AMD armes de destruction massive Scénario-fiction Le Cycle de la peur Les implications politiques
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Ses billets de blog Voir tous Polar " Le ver dans la soie " de Marie-Thérèse Ferrisi Il s'agit de mon deuxième roman policier... "Le monde qui marchait sur la tête... Coline Serreau Texte poignant de Coline Serreau qui ne mâche pas ses mots face aux ravages de l'épidémie Covid 19 ... Dimanche 22 mars. Coline Serreau, réalisatrice de Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, écolos, humanistes et généreux comme La belle verte ou La crise. Un terme "Corona" Interview d'Alexandre Adler Rebecca Fitoussi " En 2005, Alexandre Adler préfaçait... Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain »... Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient prédite avec une précision saisissante. A. Adler revient sur ce rapport et se projette dans l’après-crise. Selon lui, cette épidémie sera un tournant pour l’avenir du monde et annonce de profondes transformations " Algérie Emmanuel Macron s'exprime sur TSA Le président français, Emmanuel Macron lance un signal fort au gouvernement algérien, en accordant une entrevue au site TSA - Tout sur l'Algérie, qui subi de la censure. Regardez son entrevue. Naomi Klein "Le sort des Etats-Unis a été scellé par l'élite de Davos" Solidaire "Le choix inconditionnel du néolibéralisme par Hillary Clinton a été catastrophique. La seule réponse désormais consiste à s'en prendre aux milliardaires" C’est ce qu’écrit la journaliste et militante canadienne Naomi Klein dans une chronique publiée le 9 novembre dans The Guardian, où elle analyse la victoire de Donald Trump. Ses articles d'édition Voir tous Édition De la parole aux actes Etre et Avoir.. Une autre grammaire ! Loin des vieux livres de grammaire, Écoutez comment un beau soir, Ma mère m'enseigna les mystères Du verbe être et du verbe avoir. Édition De la parole aux actes Du manuscrit à la publication "Le trident d'argent", une aventure Le dire et le faire ne se mesurent pas que dans l'écart qui inscrit la parole dans l'acte, mais aussi par le message envoyé qui a atteint ou pas son destinataire dans l'interprétation qui lui sera donnée. Un livre, une histoire pour que l'aventure de la vie puisse continuer. Édition Immigration un autre regard J'irai mourir chez vous Vincent Lahouze Je donnerais ma vie pour être un migrant, ça a l'air tellement génial à vivre comme nouvelle télé-réalité. Je t'explique, attends. T'es là tranquille dans ton pays, tu entends le bruit des balles, tu te demandes de qui entre toi et ton voisin sera éliminé en premier sans prime time. Édition Immigration un autre regard Eloge de la bienveillance "Nous trois ou rien" Si certaines critiques définissent les acteurs du film comme "les apôtres de la tolérance", j'ai choisi un mot de nos jours trop galvaudé la "bienveillance" Une histoire vraie qui se déroule en Iran où la chute d'une dictature celle du Shah est remplacée par une autre, celle de l'Ayatollah Khomeini. Hibat Tabib, avocat iranien milite pour les forces démocratiques à Téhéran et choisit l'exode. Édition De la parole aux actes L'évaluation comme seul critère de la valeur Roland Gori Roland Gori psychanalyste propose une analyse des répercutions de l'évaluation du "faire" dans tous les domaines d'exercice professionnel au détriment de la valeur de "l'humain" où la quantité efface la qualité. Des citations de Jaurès, de Simone Veil, de Karl Marx viennent étayer son approche pragmatique de la "chosification" de l'individu et des répercutions sur la culture, l'éducation..
Fnac: Comment sera le monde de demain ?, Le nouveau rapport de la CIA, Alexandre Adler, Claude-Christine Farny, Johan-Frédérik Hel-Guedj, Pocket". . Rayons . fnac.ch. FR DE. Magasins. Me connecter. Mon panier Livres : Le 3ème offert; Guide jeux de société 2022; Club Fnac; Accueil; Livres; Le nouveau rapport de la CIA Le nouveau rapport de la CIA Comment sera le monde de demain ? Livraison gratuite dès 20€. Collection Pocket Format Etat Occasion - Très bon Poids kg Langue Français N° N°14116 Catégories > Littérature > Témoignages, Récits & Essais > Connaissances > Sciences Humaines > Sciences politiques, Droit & Economie > Livres d'occasion > Format poche ISBN 9782266195508 " Avec une crise financière sans précédent, au moins depuis 1929, un réchauffement de la planète unanimement constaté, la crainte de bouleversements biopolitiques dans des domaines aussi variés que l'eau, l'énergie, l'agriculture ou même les épidémies, notre inonde actuel n'incite pas toujours à l'optimisme béat. Pourtant, une prospective plus approfondie et moins terrorisée nous ouvre de nombreuses pistes, par lesquelles l'humanité du XXIe siècle devrait quand même parvenir à dégager des solutions. Il s'agira surtout de réduire la part guerrière de notre géopolitique au bénéfice des échanges, de l'innovation technologique ainsi que du développement durable. Ce sont ces prospectives à court et à moyen termes qu'explorent ici les spécialistes du renseignement américain. Les experts qui ont travaillé sur ce rapport pendant plusieurs années, et ont cette fois étendu considérablement le champ de leurs investigations, fournissent au président Obama une sorte de viatique pour commencer à entreprendre le changement planétaire que tout le inonde attend. " Alexandre Adler Obtenezle livre Le nouveau rapport de la CIA : Comment sera le monde en 2025 ? de Alexandre Adler,Claude Farny (Trad au format PDF ou EPUB. Vous pouvez lire des livres en ligne ou les enregistrer sur vos appareils. Tous les livres sont disponibles au téléchargement sans avoir à dépenser de l'argent. Auteure de roman policier Billet de blog 25 mars 2020 " En 2005, Alexandre Adler préfaçait... Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain »... Cette crise du Covid-19, les experts l’avaient prédite avec une précision saisissante. A. Adler revient sur ce rapport et se projette dans l’après-crise. Selon lui, cette épidémie sera un tournant pour l’avenir du monde et annonce de profondes transformations " Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus. Les articles les plus lus Journal — Allemagne l’adieu au pacifisme Journal — Brésil splendeurs et misères du Parti des travailleurs Recommandés par nos abonnées
Découvreztous les livres de l'auteur Alexandre Adler (45 réf.) sur lire-demain.fr, réseau écoles, collectivités (9% de remise) et comité d'entreprise.
Pour ses 100 ans d’existence, l’Union Des Annonceurs UDA dresse le bilan concernant les tendances de la communication de demain. De ce fait, elle a fait appel à Kantar Media pour mener une étude auprès de 280 annonceurs français. Les nouvelles tendances de la communication se résument en trois grands concepts communication digitale, personnalisée et humaine. Les chiffres clés de la communication de demain Placer le client au centre de la stratégie de communication D’après l’enquête susmentionnée, 48 % des personnes interrogées affirment que l’écoute et la compréhension des consommateurs constituent le principal apport de l’humain en termes de marketing. S’adapter aux nouveaux usages des clients L’entreprise de demain devrait rediriger son investissement vers ses propres outils de communication. Pourtant, 27 % des annonceurs seulement envisagent de mettre en place des campagnes 100 % mobile dans les 12 prochains mois. Miser sur les réseaux sociaux 66 % des personnes interrogées affirment que les réseaux sociaux constituent le canal privilégié des entreprises pour communiquer. Seulement 12 % d’entre eux sont prêts à consacrer plus de 20 % de leur budget aux nouveaux moyens de communication tels que les réseaux sociaux, les applications mobiles, les messageries. Tandis que 37 % choisissent les plateformes vidéo et 34 % optent pour les applications mobiles. De la technologie à la relation humaine Quand les entreprises hésitent entre performances technologiques et relation humaine, 35 % d’entre elles optent pour la relation humaine, contre 16 % pour la technologie. De même, 52 % des décideurs préfèrent la communication personnalisée avec leurs collègues, contre 11 % pour une communication automatisée. Organiser le travail La moitié des décideurs optent pour un système de management privilégiant le travail en mode projet en interne. Dans un premier temps 39% d'entre eux affirment qu'il faut optimiser la communication de demain. Le but sera d'intégrer des compétences externes comme nous pouvons le voir aujourd'hui à travers le digital. Pour 33% d'entre eux, le développement de l’entreprenariat sera primordial pour générer de nouvelles ressources. Enfin 26% des décideurs, pensent que la collaboration avec un réseaux externe sera le moteur d'une nouvelle organisation du travail. Opter pour la Smart data Comme le définit le blog le smart data est la nouvelle approche du traitement des donnés. Il se sert des nombreuses données issues du Big Data pour en dégager les informations les plus pertinentes. Suite à l'enquête menée par l'UDA, 30% des sondées ont répondu que l'avenir du marketing tirera sa force de la data. Pour 20% d'entre-eux la communication de demain passera par l'innovation stratégique et le fait de se démarquer de la concurrence. Malgré ces envies, la génération de data restera primordiale. Ce seront la masse de ces données qui permettront à la smart data d'être la plus utile et la plus efficace. Toutefois, plus de la moitié des décideurs 51 % s’accordent à dire qu'ils opteront pour cette nouvelle approche plutôt que de faire du Big Data. Ce qu’il faut retenir Parmi les tendances émergentent de cette enquête, on constate l’adaptation de la communication aux nouveaux canaux utilisés par les consommateurs. Parmi les canaux les plus privilégiés, il y a les réseaux sociaux, les vidéos et le mobile. Autre constat important émanant de cette étude, c’est l’avènement du customer centric ». Il s'agit de baser sa stratégie sur l’écoute et la compréhension du client. Avec l'ensemble des données que vous possédez sur vos clients il sera possible de cibler précisément les attentes de celui-ci. Cela passera par l'individualisation de la communication qui privilégie l'humain avant la technologie. Enfin, l'étude révèle la prédominance de la data, tout en démontrant l'impact de la smart data sur l'avenir et les actions de communication. Et vous, comment voyez-vous la communication de demain ? Si cet article vous a plu, consultez notre page dédiée à la génération de leads ou à consulter d’autres articles sur ce thème. Vous souhaitez être accompagnés dans votre démarche d’amélioration pour l’augmentation de vos leads ? Nous vous invitons à contacter nos équipes pour plus d’informations.
Ainsila lettre du petit-fils de Ben Laden à sa famille proclamant l'instauration d'un nouveau califat ou le dialogue sous forme de SMS entre trafiquants d'armes nucléaires et chimiques Ce rapport, écrit par vingt-cinq experts internationaux sur la base de données jusqu'ici secrètes, nous dit comment sera la monde en 2020. Ce document est exceptionnel, unique même. Pour la première fois, le public a accès aux recherches et aux analyses des meilleurs géopoliticiens de la CIA. Quelle sera la carte du monde dans dix ans ? dans trente ans ? Quelle sera l'issue de la guerre mondiale diffuse que nous vivons actuellement ? Le terrorisme va-t-il s'amplifier ? La montée de la Chine et de l'Inde sera-t-elle progressive ou violente ? Verra-t-on l'effondrement de l'hégémonie américaine ? La mondialisation, apparemment irréversible, imposera-t-elle le modèle occidental ? Entre alarmisme et espérance, les auteurs de ce rapport historiens, militaires, diplomates proposent la lecture la plus fine, lucide et vraisemblable du monde de demain.

Aprèsle succès de La troisième révolution industrielle (plus de 40 000 exemplaires vendus), Jeremy Rifkin présente ici ce que sera la société collaborative de demain. Le prospectiviste de génie y dessine un nouveau paradigme favorisé par l’essor des nouvelles technologies : les communaux collaboratifs.

Après une visite dans le rétroviseur du passé et le miroir du présent, pourquoi pas, une petite excursion ou incursion dans le monde du futur vu par la CIA. Dernièrement, je tombait nez à nez avec ce livre "Le monde en 2040 vu par la CIA", écrit par le journaliste au Monde depuis 2002, Piotr Smolar . A partir du "National Intelligence Council", le livre "Le monde en 2040 vu par la CIA" est un best-seller dès sa publication. Prospectif, il est très attendu par le renseignement américain. Cette fois, ce futur est présenté comme un monde plus contesté. Rapport indispensable pour appréhender notre avenir qui se trouve sur le bureau de Joe Biden, bien entendu. ... Préambule À chaque élection présidentielle américaine, le National Intelligence Council NIC, c'est-à-dire le cerveau prospectif de la CIA, fournit un rapport au nouvel élu de la Maison Blanche sur le monde du futur. Cette synthèse est construite à partir des analyses des meilleurs experts. Ce rapport de 2021 qui envisage le monde de 2040, était très guetté dans le contexte éprouvant du Covid-19. Il annonce des bouleversements, en une génération, comme aucune autre n'en a vécu jusqu'à lors dans l'histoire de l'humanité dans le domaine du climat, de la connectivité, de la biotechnologie, de l'intelligence artificielle. Il dessine aussi des sociétés plus fragmentées, sous tension, confrontées à des menaces et des enjeux sans frontières. Un monde plus contesté se dessine où la confiance entre gouvernants et gouvernés sera sérieusement ébranlée. Comment les sociétés affronteront-elle le vieillissement de leur population ? Comment résisteront-elles à la pression migratoire ? Au manque d'eau ? Pourquoi la jeunesse risque-t-elle de connaître des troubles mentaux aigus ? La technologie pourra t-elle atténuer les effets du changement climatique ? Quels seront les pays qui détermineront la marche des prochaines décennies ? Une renaissance démocratique est-elle possible ? Par sa clarté, la qualité de ses informations très sensibles qui couvrent tous les domaines, sa rigueur et son ouverture intellectuelle, le Monde en 2040 vu par la CIA est un rapport indispensable pour appréhender notre avenir il se trouve sur le bureau de Joe Biden". C'est un ouvrage qui interpelle surtout quand on sait qu'il est censé éclairer le président des Etats-Unis. Ce rapport aide-t-il à prendre du recul ?. Un des commentateurs écrivait avec humour Pour moi en 2040 ; j'aurai 85 ans donc soit je suis mort, soit je suis complètement gâteux et je ne comprends plus rien, soit j'ai toute ma tête et je tape sur la télé, si ça existe encore, avec ma canne. Je ne sais pas ce que je préfère". J'en aurai 8 de plus... Pas plus de commentaires. ... Les thèmes-clé Le futur s'articule autour de 3 grands chapitres les forces structurelles comme la démographie, l'environnement, l'économie et les technologies. les dynamiques émergentes comme l'évolution du fonctionnement des sociétés, des états et les modèles de gouvernance en général. les dynamiques internationales qui témoignent des défis mondiaux comprenant les fragmentations croissantes des communautés, le déséquilibre entre les besoins et les faiblesses du système. Les contestations grandissantes et les adaptations aux nouvelles normes deviennent plus difficiles à supporter surtout pour les plus âgés. Les forces structurelles se perdent entre la démographie et les dynamismes émergents de nos sociétés, des Etats nationaux et internationaux. ... Cinq scénarios dans l'incertitude Renaissance démocratique qui permettrait d'espérer et de reprendre du souffle Un. Monde à la dérive dans une tragédie de mobilisation, entre des accentuations de certaines tendances et de décélérations d'autres visibles dans les inégalités, les nationalismes et des gouvernances perturbées en échec de la coopération internationale. Coexistence compétitive entre les blocs US, Chinois, UE et Russie. Le vieillissement de la population confronté au jeunisme demandé par les sociétés. Le temps de travail s'allonge pour ne pas devoir payer les pensions pendant trop d'années alors qu'obtenir un emploi sur une longueur indéterminée devient rare. Des silos séparés. Les connectivités entre les hommes s'accroissent et permettent une recherche d'autonomie individuelle ou sociétale. Tragédie et mobilisation. Le progrès vu par les femmes s'intensifie. Les classes moyennes sont en mutation. Le changement de climat, les dégradations des environnements par la pollution et par la perte de la biodiversité, la denrée de l'eau devraient forcer à la solidarité et à la résilience. Les dettes publiques de certains pays deviennent colossales. Sous pression, l'Occident a un sentiment de perte de repères, de désillusions, de pessimisme et de perte d'identité fragilisent la démocratie mais aussi dans des silos séparés alors que les régimes autoritaires deviennent aussi vulnérables. Les survivalistes, eux, se préparent à une fin du monde dans ce qu'ils appellent Buckerville. "Les sentiments sont souvent les annonciateurs de c'est demain", sont les dernier mots du livre Le futur antérieur Rappel Le futur antérieur est formé à partir des auxiliaires avoir et être conjugués au futur simple auxquels on ajoute le participe passé. ... En 2005, j'avais écrit le billet "Le rapport du "Rapport de la CIA" qui parlait du livre de Alexandre Adler qui s'intéressait au 3ème rapport de la CIA. A ce titre, il pointait le futur du monde en 2020 dans une vision à l'américaine en suivant le rapport NIC 2020 2003. A ce moment-là, sortait déjà le 4ème rapport qui se pointait à l'horizon de 2025. "Vers une mondialisation plus malheureuse" reconnaissait Adler d'entrée de jeu dans un titre évocateur. J'ai relu l'article et je me pose toujours la même question "Ces visions tiennent-elles la route après coup, une fois l'échéance atteinte ? Les futurologues font rêver ou cauchemarder selon la sensibilité, l'optimisme ou le pessimisme de ceux qui en témoignent. 2020 est derrière et 2025 est à nos portes. Comparer ce qui était prévu, qui colle avec le présent ou ne colle pas relève de l'équilibriste. Est-ce que les rapports précédents ont-ils été suivis de bilans de ces prévisions par des réalisations sur le terrain ? Probablement quelques éléments de ces rapports se sont révélés exacts et d'autres moins. Je n'aime pas les destinés écrites et j'apprécie bien plus le hasard qui donne une chance et des surprises pour trouver un autre chemin dans les dédales du futur Aujourd'hui, tout va tellement plus vite que dans le passé. Les bouleversements rapides se forment en une seule génération. Inventer l'avenir en devient un rôle d'équilibriste avec des bilans annuels intermédiaires pour tromper les prévisions. Le climat, la connectique, les biotechnologies, l'Intelligence Artificielle, les sociétés fragmentées, les tensions dures entre gouvernants et gouvernés, le vieillissement des populations, les migrations, l'eau sont des problèmes qui en font partie... Dans ce monde, ce qui est le plus difficile c'est de changer les habitudes. Il faudra peut-être pour cela y voir un intérêt personnel pour accepter le bénéfice de la diversité dans les relations interculturelles. Je lisais dans "C'est arrivé la nuit" de Marc Levi "Le hasard, c'est la forme que prend Dieu pour passer incognito. Lorsqu'il sourit, les athées appellent cela de la chance. Est-ce qu'on se lie aux gens par hasard ou parce que in fine, ils nous apportent quelque chose ? ... Le prix à payer est parfois tel qu'il faut regretter sincèrement qu'il ait existé". Ce vendredi, deux vedettes de la chanson lançaient un album sur le ressenti de leur actualité. Il y avait le pessimisme "L'odeur du pétrole" de OrelSan Adèle présente un autre aspect de notre temps dans son album "30". Il est dit à son sujet "La douleur est chantée, exprimée, partagée de manière frontale, parfois presque brutale. Et pour cause, ces 12 nouvelles chansons ont été écrites en plein divorce. On pouvait s’attendre à un album empli d’animosité ou de ressentiments. Mais Adele est au-dessus de tout cela". Au sujet du futur antérieur, je me souviens que j'avais écrit en 2012 une fiction au sujet d'une embrouille dans la production pharmaceutique, intitulé "Vengeance au futur antérieur". Ai-je été aussi un inventeur de futur ? Chacun a un avis assez troublé dans le brouillard des événements qu'il est difficile d'ébaucher un avenir sans surprise. Le moins qu'on puisse dire, c'est que cela commence mal pour l'humanité mondialisée. Début 2019, qui aurait penser qu'un Coronavirus allait bouleverser tous les plans du futur ? D'autres futurologues tentent d'apporter des idées plus constructives, plus réalistes et moins pessimistes pour 2050. Je les activais récemment en ces mots "Demain, en 2050, quand les jeunes de 30 ans d'aujourd'hui en auront 60, leur logement sera très probablement plus réduit mais mieux adapté à l'environnement dans un espace résiduel. Moins technologique, avec un retour à plus humain en face à face plutôt que par smartphone interposé. Des cités dans un environnement plus convivial, plus aéré pour refroidir les trop grandes chaleurs. L'intelligence et les connaissances seront mises en commun. Quant à l'argent et à la confiance qu'on aura avec lui devrait être plus adoucie par des échanges entre des services donnés et des services reçus. Plus de location temporaires de matériel en fonction des besoins immédiats". Un rapport sur le monde d'après serait-il plus facile ? A quoi ressemblera l'homme de demain ? Allusion

Dansla période actuelle, le temps court a une forte tendance à prendre le dessus sur le temps long, avec cette impression constante que tout s’accélère. Le temps médiatique nous ramène même sur du temps ultracourt : l’immédiateté. Un phénomène amplifié alors que nous entrons dans une année d’élection présidentielle. Face à ce constat, une association de
Les banlieues françaises sont en passe de devenir des terres d’Islam » et de nombreux musulmans français y aspirent, selon l’historien Alexandre Adler, qui s’inquiète de l’auto-administration musulmane contre l’Etat » dans les quartiers Alexandre Adler, les violences en banlieue ne s’expliquent pas seulement par des problèmes sociaux, mais il existe selon lui une conception du territoire propre à l’Islam » Il y a l’idée dans la doctrine musulmane la plus traditionnelle qu’il existe une terre de l’islam. Là où l’Islam s’est répandu, là où les peuples l’ont accepté cette terre est désormais islamique », a-t-il expliqué lors d’une interview sur France lui, la situation des banlieues françaises est comparable à celles des régions musulmanes de l’Inde qui ont fini par faire sécession et devenir le Pakistan et le Bangladesh. C »est un peu ce qui se passe quand les quartiers essayent au fond de s’auto-administrer contre le pouvoir d’Etat. C’est une terre de l’Islam et à un moment donné effectivement, la République n’y pénétrera plus », a-t-il Adler a enfin conclu en relatant une anecdotique arrivée à Martine Aubry. La maire de Lille se rendait à Roubaix, dans un quartier à 90% musulman et l’Imam l’a accueilli d’un bienvenue chez nous qui malgré toute la tolérance de Martine Aubry dans ce domaine ne lui convenait pas ».
Lerapport de la CIA : comment sera le monde en 2020? Publication date 2005 Topics Politique étrangère, Politique mondiale, Prévision, Relations internationales, Relations internationales -- Prévision, Prévision économique, Géopolitique, Mondialisation, Security, International, World politics -- 21st century -- Forecasting, Globalization -- Forecasts, Twenty-first century --
L’Homme du 11 Septembre 2001 appartenant au Deep State, avait informé le peuple Américain sur la préparation à une éventuelle pandémie en 2005 !!! Dommage qu’il n’ai pas jugé utile d’informer son peuple d’ une éventuelle Attaque de l’Amérique » à venir. Relation Deep State Américain/CIA/ avec la Chine. Chez nous, nous avons également un historien Visionnaire de la CIA Deep State ! Un visionnaire qui reprend les directives pandémiques » de George W. Bush ! Il s’agit d’Alexandre Adler, FRANC-MACON de la Loge Nationale Française. Corse Matin En 2009, l’historien et journaliste Alexandre Adler participait à un ouvrage prémonitoire. Dans Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Robert Laffont, l’hypothèse d’une pandémie est décrite avec des détails annonciateurs de la crise sanitaire actuelle. Ses analyses géopolitiques font référence et il adore la Corse. Ces deux qualités caractérisent le parcours d’Alexandre Adler, historien et journaliste réputé. Si son nom revient dans l’actualité, c’est en lien avec un livre paru en 2009, qu’il a notamment préfacé. Dans Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde demain, paru aux éditions Robert Laffont, le conseil national du renseignement américain émet des hypothèses sur l’avenir du monde. Parmi les scénarios envisagés, l’éventualité d’une pandémie mondiale. Comment est né le projet de publier la traduction des rapports de la CIA ? La CIA, pendant très longtemps, collectait des informations d’ordre géopolitique, émettait des hypothèses puis en informait de façon confidentielle une partie de l’opinion qui l’intéressait, notamment des directeurs de journaux. Plus tard, la CIA a rendu public une partie de ces rapports. Ce furent de grands succès de librairie. La CIA ne s’adressait plus à une petite élite mais au grand public. Les Américains ont eu le sentiment que la CIA leur parlait directement. Cela a donc intéressé l’édition française. C’est Nicole Lattès, alors directrice générale des éditions Robert Laffont, qui s’y est intéressée la première. Elle m’a demandé de lire la traduction française des rapports puis d’y adosser un commentaire en fonction de ce que j’avais lu. C’est ainsi que je me suis inscrit dans ce projet tout en gardant mon esprit critique. Dans l’un de ces rapports, datant de 2007, les experts de la CIA prévoient l’éventualité d’une pandémie à l’horizon 2025. L’apparition d’un virus type Covid-19 et sa propagation mondiale a-t-elle été négligée ? Le romancier Tom Clancy, lui-même très bien informé par la CIA, avait écrit Executive Orders en 1996. Il y décrivait déjà, avant l’heure, les ravages d’une pandémie mondiale dont on pensait à l’époque qu’elle serait provoquée par le virus Ebola. Cette description effrayante m’avait déjà interpellé. Il y fait un certain nombre de recommandations dont je me suis inspiré. J’ai écrit un texte dans lequel je préconisais de garder des stocks de médicaments. Mes amis me disent que j’ai été visionnaire mais j’ai simplement été inspiré par les idées de Philippe Séguin, dont j’étais proche. Je pensais notamment que c’était une erreur d’expatrier notre industrie pharmaceutique pour des raisons de coût. On a fait fabriquer nos médicaments en Asie, essentiellement en Chine. Je pensais qu’il était extrêmement dangereux de procéder ainsi, que l’on se retrouverait en difficulté, sans stock ni mesures de précautions. Quand on repart de zéro, il faut plusieurs mois pour que l’on puisse les refaire fabriquer en France, même si on dispose des ordonnances. Dans ce même rapport, les experts citent parmi les agents pathogènes, le coronavirus du Sras. Je l’avais oublié et je l’ai observé en le relisant. Je me souviens que le rapport baptisait le virus corona » parce qu’il symbolisait la pandémie ultime, le couronnement. Il semblait tellement grave que l’on pensait qu’il n’y en aurait plus. Je l’évoque donc dans le texte auquel vous faites référence, écrit en 2009, et qui prévisualise le monde en 2025. La probabilité d’un gros coup dur était évidente et il aurait fallu prendre des mesures de précaution, stocker des vaccins, des médicaments. C’était une attitude plus prudente, certes plus coûteuse aussi, qu’il aurait fallu observer. Pour être tout à fait honnête, je n’y ai plus fait attention après avoir écrit ce texte. Le virus Corona symbolise la pandémie ultime, le couronnement » Malgré toutes ces précisions prémonitoires, pourquoi n’étions-nous pas mieux préparés à l’apparition de ce virus ? Parce que nous étions dans l’idée absolument dominante, et dont Emmanuel Macron est un porte-parole, qu’il fallait essayer de maîtriser les coûts de la santé. Et ces économies, que personne n’a vraiment contestées, pas même moi je l’avoue, nous reviennent à la figure. De plus, on a complètement sous-estimé la rapidité du processus de mondialisation. L’apparition massive de touristes chinois ou russes en France était un indicateur. Cette immigration touristique était un phénomène nouveau qui m’avait interloqué. J’ai compris que la mondialisation n’était pas un vain mot. Tom Clancy dans son roman et la CIA dans ses rapports ont envisagé que ces flux touristiques deviennent des vecteurs de propagation d’un virus. D’autres ont tiré le signal d’alarme sur l’apparition de ces phénomènes de masse. Dans son analyse, la CIA ne pointe-t-elle pas également les dangers de la mondialisation ? Absolument, c’est d’ailleurs pour ça que j’étais en adéquation avec le rapport de la CIA qui plaidait déjà, à l’époque, pour une moindre dépendance au marché mondial. Les gouvernements américains avaient décidé d’investir énormément sur les nouvelles technologies et de délocaliser la production pharmaceutique courante, obtenue à un prix inférieur sur le marché asiatique. Dans son analyse, la CIA estime que ce n’est pas sage. Elle estimait qu’en cas de pandémie, en pensant surtout à Ebola, les États-Unis subiraient d’une part le chantage de la Chine et s’exposeraient d’autre part au risque de pénurie en temps de crise. Alors certes, on a trouvé le vaccin contre Ebola plus vite que prévu. Mais le vaccin contre le Covid-19, on ne l’a toujours pas trouvé. Dans ses prévisions les plus alarmantes, la CIA envisage des dizaines voire des centaines de millions de morts. Est-ce plausible en l’état actuel de la pandémie ? Je pense que ces évaluations sont surestimées et qu’heureusement, nous n’atteindrons pas ce bilan. Ils ont peut-être voulu faire peur et ils ont eu raison de penser au pire. Le déséquilibre de l’ordre mondial y est également évoqué. Des conflits internes ou transfrontaliers liés à la pandémie menacent-ils de déstabiliser le monde ? Cela me semble très exagéré. Je ne le crois pas. Lorsque des nécessités patentes se font sentir, je pense par exemple aux besoins en masques, il est évident qu’il peut y avoir des concurrences et la France vient d’en être victime. Mais à la fin des fins, la production se remet en marche et on finira par donner des masques aux soignants puis à toute la population. Pareil pour les tests. On va y arriver mais il faut un peu de patience. Et surtout ne pas donner la parole aux paniquards, aux lâches. Une fois l’épidémie derrière nous, quelles leçons sociétales, économiques et commerciales devront nous tirer ? Je pense que nous avons été trop loin et trop vite dans la mondialisation. Cela ne veut pas dire que l’antimondialisation est la réponse à apporter. Il faut penser une modélisation plus modérée. Certaines régions du monde doivent s’orienter vers une plus grande autonomie. De ce point de vue, la coordination européenne est absolument nécessaire. Nous sommes une trop petite zone de la planète pour refuser une unification. Mais elle doit être raisonnée et raisonnable. La santé publique, notamment, doit faire l’objet de mesures de précautions beaucoup plus importantes. La crise sanitaire nous montre que c’est un impératif plus important que d’autres. Nous devons essayer de ne pas faire prévaloir le raisonnement comptable, même quand il est séduisant. Les ralentissements liés à l’augmentation des coûts deviennent des accélérateurs en période de crise. En 2007, un rapport de la CIA détaillait la menace de pandémie 2009, les éditions Robert Laffont publient Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Au cœur de cet ouvrage de 310 pages, préfacé par Alexandre Adler et qui traduit les rapports du conseil national du renseignement américain, un texte court sur les pages 256 et 257. Le chapitre est intitulé Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale » et détaille avec une précision saisissante les risques liés à l’émergence et à la propagation exponentielle d’un nouveau virus, à l’horizon 2025. L’apparition d’une nouvelle maladie respiratoire virulente, extrêmement contagieuse, pour laquelle il n’existe pas de traitement adéquat, pourrait déclencher une épidémie mondiale », y est-il mentionné. Dans leurs analyses géopolitiques, les experts du renseignement américains envisagent une crise sanitaire que personne, pourtant, n’a vu venir. Les experts voient dans les souches hautement pathogènes de la grippe aviaire telles que le H5N1 des candidats probables à ce type de transformation, mais d’autres agents pathogènes, comme le coronavirus du Sras et diverses souches de la grippe, auraient les mêmes propriétés », détaille le rapport. Coronavirus, maladie respiratoire, Chine tout y est Mais ce n’est pas tout. Signe que les experts avaient quasiment tout prévu, l’émergence du virus y est décrite jusqu’à sa région d’apparition. Si une maladie pandémique se déclare, ce sera sans doute dans une zone à forte densité de population, de grande proximité entre humains et animaux, comme il en existe en Chine et dans le Sud-Est asiatique où les populations vivent au contact du bétail. » Le scénario catastrophe, analysé et écrit en 2007 aux États-Unis, avant sa parution en France en 2009, s’avère glaçant de précision, a posteriori. Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent des résultats définitifs confirmant l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie …, poursuit le rapport. En dépit de restrictions limitant les déplacements internationaux, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le virus sur d’autres continents. Les malades seraient de plus en plus nombreux, de nouveaux cas apparaissant tous les mois. L’absence d’un vaccin efficace ou d’immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion. » L’analyse s’achève sur des prévisions sanitaires catastrophiques, prédisant plusieurs dizaines de millions de morts. Une évaluation revue à la baisse par Alexandre Adler lire ci-dessus. L’historien et journaliste a signé la préface et les commentaires du livre Le nouveau rapport de la CIA – Comment sera le monde en 2025 ? Alexandre Adler préconise de stocker des vaccins Le rapport prétend nous livrer des scénarios construits et alternatifs du destin de notre monde », explique l’historien dans son prologue. Avant cela, poursuit-il, les auteurs du rapport ont aussi voulu un peu sacrifier aux préoccupations du moment en imaginant plusieurs films catastrophe qui sont autant de signaux d’alerte nécessaires à une approche globale des risques futurs. » Terrorisme, bouleversements climatiques, conflits internationaux, guerres de religions, luttes commerciales, tous les grands enjeux géopolitiques sont passés au crible et commentés par Alexandre Adler. Ce dernier s’arrête notamment sur l’éventualité d’une crise sanitaire. Un peu plus vraisemblablement, on évoque aussi dans un encadré la transmission d’une maladie infectieuse sans vaccin connu de l’Afrique vers le reste du monde, hypothèse inspirée de l’apparition du virus Ebola. » Comme il le précise dans l’interview qu’il a accordée à Corse-Matin lire-ci dessus, il préconise déjà, en 2009, de prendre des dispositions pour lutter contre ces bouleversements annoncés. Il résulte de ces nouvelles menaces autant d’actions de veille technologique et de protection, telles que des stocks de vaccins, qu’il faudra envisager de prendre à l’avenir », prévient-il. Manifestement, il n’a pas été entendu. FIN DE L’ARTICLE ***** Les Franc-maçons ont toujours des buts bien définis pour NOTRE BIEN », bien entendu !!!. Ce sont des buts pour favoriser les avortements de masse la mise à mort qu’ils appellent euthanasie » pour les personnes hospitalisées qui ne servent plus à rien à la société » dixit Jacques Attali et la vaccination de masse dont le Big Pharma se gave qui fait des ravages chez beaucoup de patients. La bande à Bill Gates n’est jamais loin lorsqu’il s’agit de s’en mettre plein les poche……..mais Donald Trump les a identifié, démasqué et dévancé depuis le début. M. Fauci a joué un rôle de leadership dans le cadre du Plan mondial de vaccination » en partenariat avec la fondation Bill et Melinda Gates. Naturellement, il repoussera le traitement à l’hydroxychloroquine + à l’azithromycine et optera plutôt pour un vaccin breveté. » Et lorsqu’on apprend que celui qui dirige l’OMS est payé par la Chine, le puzzle se met en place petit à petit. L’Organisation mondiale de la Santé s’est toujours pliée à la volonté du Parti communiste chinois au détriment de la santé mondiale et de contenir la propagation du coronavirus ». Senateur Ted Cruz Parce-que ce triste sire, M. Tedros, qu’ils ont fait Directeur de l’OMS, appartient à la China pantin, tout en étant originaire de son pays l’Éthiopie. On ne peut servir qu’un seul pays LE SIEN et le pays qui vous achète . Le directeur de l’OMS fait face à des appels à la démission sur le traitement du coronavirus, Chine Le Dr. Tedros a trompé le monde. À un moment donné, il a même fait l’éloge de la transparence » de la Chine pendant ses efforts de riposte au coronavirus, malgré une montagne de preuves montrant que le régime cachait la gravité de l’épidémie. Cette tromperie a coûté des vies. » Le Larbin des communistes a bien appris sa leçon après que nous l’ayons répandu, tu dois dire maintenant qu’il peut-être battu » Pour la première fois, Chine n’a signalé aucun cas interne COVID19 hier. C’est une réalisation incroyable, qui nous donne à tous l’assurance que le coronavirus peut être battu. » Lui vient en aide une Comrade » Pompeo dit à Fox Nouvelles La Chine a permis à des centaines de milliers de personnes de quitter Wuhan pour aller à des endroits comme l’Italie qui souffre maintenant si mal ». Arrêtez de mentir ! Comme l’ont dit les experts de l’OMS, les efforts de la Chine ont permis d’éviter des centaines de milliers de cas d’infection. » Mais Nikki Haley ne lâche pas l’affaire ». Cela a été publié par l’OMS le 14 janvier. L’OMS doit expliquer au monde pourquoi elle a cru la Chine sur parole. Tant de souffrances ont été causées par la mauvaise gestion de l’information et le manque de responsabilité de la part des Chinois. » Cet homme a été mis en place par les agents de la CIA agissant pour le Deep State sous George W. Bush et payé par la Chine pour faire la promotion des laboratoires chinois. Tout le Monde aura désormais compris pourquoi Donald Trump a toujours dit CORONAVIRUS CHINESE Président realDonaldTrump recommande que certains Américains portent des masques et d’autres revêtements faciaux protecteurs pour lutter contre la propagation du coronavirus chinois. » Pour avoir menti et caché le coronavirus au monde jusqu’à ce qu’il devienne une catastrophe de gagner des milliards de dollars en vendant des fournitures médicales, je prie pour que le peuple Chinois obtienne bientôt sa liberté et pour que le gouvernement communiste chinois pourrisse en ENFER. Faites Payer la Chine Donald Trump. » Del'invasion du Tibet (1950) à la révolte de Lhassa contre Pékin (2008), et relisant un demi-siècle de relations conflictuelles, le plus prophétique des essayistes annonce dans ce lumineux traité de géopolitique la réconciliation inattendue entre Xi Jiping et Tenzin Gyatso. En fin connaisseur des arcanes de la diplomatie, et après des années d'investigation, Adler s'attaque ici avec Publié le 27 déc. 2019 à 800Mis à jour le 7 janv. 2020 à 1213Ce sont quelques-unes des questions que nous étudions à la Chaire Futurs de l’industrie et du travail de l’école Mines ParisTech. Nous présentons ici quelques résultats, souvent provisoires, que détaillent de nombreuses aura-t-il encore du travail ?Certains rapports alarmistes évoquent une fin du travail », un remplacement de l’ouvrier par des robots et de l’employé, voire du cadre, par des logiciels. D’autres prétendent que la numérisation sera créatrice nette d’ que l’impact de l’automatisation sur l’emploi est la résultante de 4 effets une substitution de capital au travail, de l’automate à l’homme il faut moins de temps humain pour produire le même bien ou service ;une augmentation de la compétitivité de l’entreprise, qui l’aide à conquérir des parts de marchés nous allons voir que cet effet compense souvent le premier ;des créations d’emplois liés à la conception, la fabrication, l’installation, la formation des utilisateurs des logiciels et des robots ces emplois seront-ils chez nous ou ailleurs ?Les emplois induits par l’usage du temps ou du pouvoir d’achat libéré va-t-on regarder une série américaine sur un téléviseur coréen ou assister à un spectacle puis dîner au restaurant avec ses amis ?Le résultat net de ses effets n’est pas évident à prédire. Empiriquement, on observe deux choses au niveau des entreprises, on a constaté dans une majorité de cas que le gain de parts de marché faisait plus que compenser le gain de productivité en moyenne, les entreprises qui se modernisent embauchent et, si elles savent les former, elles gardent les salariés qu’elles employaient déjà. En revanche, celles dont les technologies deviennent obsolètes n’arrivent pas à affronter la concurrence. Le choix serait donc entre former ou fermer. Pour les entreprises, former leurs salariés ou fermer leurs usines. Pour les salariés, se former pour maîtriser les nouvelles conditions de travail ou se fermer des possibilités d’ niveau des pays, ceux qui investissent le plus dans les robots, comme la Corée du Sud ou l’Allemagne, sont ceux où la valeur ajoutée industrielle se porte le mieux. L’effet sur l’emploi industriel est moins significatif, du fait des gains de productivité, mais la bonne compétitivité des entreprises industrielles induit des emplois dans le reste de l’ ailleurs, de nouveaux produits et services apparaissent. Le smartphone n’existait pas il y a 15 ans. On trouve aujourd’hui plus de 6 millions d’applications sur les plates-formes d’Apple ou de Google, dont le développement a bien dû occuper quelques peut donc renvoyer dos à dos ceux qui prédisent une tendance générale à une forte réduction des emplois et ceux qui évoquent le retour au plein emploi qui a suivi toutes les révolutions industrielles. On n’a pas de preuve robuste qu’il y aura beaucoup moins de travail. Mais par ailleurs rien ne prouve qu’il ne faudra pas gérer des transitions douloureuses, qu’il ne faudra pas accompagner des personnes ou des secteurs entiers, déstabilisés par l’évolution des chaînes mondiales de valeur ajoutée et par la disparition de certaines qui en revanche est certain, c’est que le travail quotidien d’une majorité de gens sera substantiellement travail sera-t-il plus qualifié ?Dans l’ensemble, oui, mais avec des contrastes selon les les services, on observe une polarisation des emplois et des qualifications, avec l’apparition d’une part de beaucoup d’emplois ne demandant pas beaucoup de formation préalable, comme dans l’hôtellerie-restauration, le nettoyage, ou certains services à la personne ce qui n’empêchent pas ces emplois de demander des savoir-être et des qualités humaines essentielles, d’autre part de certains emplois très qualifiés demandant une formation poussée et poursuivie tout a long de la l’industrie, on constate plutôt une élévation générale des pour presque tous, les compétences numériques exigées augmentent, celles-ci s’avèrent plus faciles à acquérir que beaucoup de ne le redoutent, avec des interfaces homme-machine plus conviviales qui ne sait aujourd’hui utiliser les fonctions de base d’un smartphone ?. En revanche, certaines compétences liées au métier peuvent se perdre, au fur et à mesure qu’elles sont incorporées aux machines et aux est beaucoup plus facile d’apprendre à un bon soudeur à maîtriser des assistants numériques que d’apprendre à souder à quelqu’un qui est à l’aise avec des prothèses numériques. Or il reste important pour un opérateur qui surveille un îlot de fabrication où des pièces sont soudées de comprendre cette opération et si possible de savoir la plus autonome au travail ?On observe une aspiration et une capacité croissantes des salariés à l’autonomie. Certaines entreprises instaurent une plus grande subsidiarité pour y répondre et bénéficient en contrepartie de salariés plus engagés et d’une plus grande agilité grâce à l’intelligence collective qu’elles stimulent. Mais globalement, la France est dangereusement à la traîne, l’autonomie, déjà plus faible que chez nos voisins, tend à les retours d’expérience des entreprises ayant intégrées avec succès des technologies de l’entreprise du futur montrent qu’elles ont en général fortement accru les responsabilités confiées à chaque salarié et le pouvoir de décision et d’action de travail sera-t-il moins pénible ?La pénibilité physique du travail diminue grâce à l’amélioration de l’ergonomie des postes, aux robots, cobots ou exosquelettes. Le risque d’ennui diminue aussi à mesure que le salarié prend en charge des tâches plus complexes et moins revanche, la charge cognitive et psychologique augmente souvent. Par ailleurs, la contrepartie d’horaires plus souples et de possibilités de télétravail est une déconnexion plus travail sera-t-il moins "viril" ?Les environnements de travail de l’entreprise du futur sont plus complexes, le rôle des opérateurs présents consiste plus à gérer des imprévus difficiles à anticiper, des perturbations qui volent parfois en escadrille, et surtout des problèmes d’interface avec d’autres tâches ou fonctions. Deux qualités deviennent essentielles pour la performance la capacité à jouer collectif, à améliorer la contribution de chacun plutôt qu’à viser l’exploit individuel, à prendre soin de ceux qui peinent. Cela suppose des capacités d’empathie et d’écoute ;savoir gérer efficacement les priorités lorsque rien ne se passe comme prévu et que diverses perturbations apparaissent par exemple privilégier la sécurité des personnels.Une occasion de développer ces qualités d’empathie et de gestion efficace des incidents est de participer activement aux tâches familiales consistant notamment à prendre soin des autres enfants ou parents.Aujourd’hui, dans les pays à culture rétrograde où les femmes prennent la plus grande part aux taches familiales consistant à prendre soin des autres, elles développent mieux que les hommes – statistiquement – ces aptitudes d’empathie et de gestion des interruptions et imprévus de plus en plus importantes dans le travail en peut donc en conclure qu’au sein de nos usines, le robot peut remplacer l’homme, mais pas la femme et qu’il en est de même pour l’intelligence artificielle dans les notre système d’éducation de développer chez tous leurs élèves, garçons ou filles, des capacités d’empathie, d’intelligence collective, de gestion des priorités, et d’encourager les femmes à s’orienter vers des métiers qu’on considérait naguère plus un design du travailLa conception des produits intègre de mieux en mieux l’expérience de leurs pensons que la conception des processus de production doit intégrer mieux l’expérience des producteurs. Il faut utiliser les méthodologies les plus perfectionnées du design pour associer les opérateurs à la conception de l’organisation du travail. De manière générale, les bureaux d’étude qui conçoivent de nouvelles offres de produits ou de service doivent prêter attention à la fois à ceux qui les utiliseront et à ceux qui les produiront et les faire participer à leurs du travailAujourd’hui, beaucoup d’entreprises ne trouvent pas les compétences dont elles ont besoin, tandis que de nombreux actifs cherchent en vain des entreprises où ils aimeraient travailler. Des savoir-faire disparaissent, des territoires s’étiolent, la cohésion et la prospérité de notre société sont menacées. L’organisation du travail et notre système de formation doivent impérativement s’adapter aux enjeux de la transformation numérique, de la mondialisation des chaînes de valeur, de la préservation de l’environnement et des évolutions situation est particulièrement préoccupante en France et notamment dans l’industrie. Dès que la conjoncture est bonne, les usines tournent à plein régime, les capacités de production sont saturées. C’est pourquoi, malgré une compétitivité qui s’améliore, notre balance commerciale reste déficitaire, notre pays produit moins de richesses qu’il n’en consomme. C’est notamment parce que trop de jeunes se détournent d’emplois dont eux-mêmes ou leur entourage ont une image négative ou n’ont pas envie d’acquérir les compétences qui permettent d’occuper ces cohésion et la prospérité de notre pays dépendront de la capacité de nos entreprises à rendre le travail attractif et porteur de sens, à répondre aux aspirations de leurs employés, notamment sur l’impact positif de leur action pour la société et l’environnement, et de la capacité de chacun à développer les aptitudes requises et à s’ Weil, Chaire Futurs de l'industrie et du travail CERNA, I3, CNRS, Membre de l’Académie des technologies, Mines ParisTechCet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article Weil, Chaire Futurs de l'industrie et du travail, Membre de l’Académie des technologies, Mines ParisTech
Ona perdu presque toutes nos libertés et on est à un point de basculer dans une dictature sanitaire (si ce n’est déjà le cas) qu’on pourra circuler qu’avec un “passeport sanitaire” à jour! En espérant que 2021 sera meilleur et que toutes ces idées noires sur une View On WordPress. coronafolie coronavirus covid19 covid21. Dec 31st, 2020. Open in app; Facebook; Tweet;
Imaginer le monde de 2050 est un exercice plus difficile car c’est encore loin. Pourtant, en 2020, les jeunes ont réussi à exprimer leurs idées pour une société totalement repensée où la technologie se mêle à une économie plus traditionnelle. Des défis de taille En 2050, l’humanité devra faire face à un défi majeur vivre sur une planète très peuplée. En effet, l’ONU estime que nous pourrions être 9,8 milliards d’habitants sur Terre dans moins de 30 ans. Pour faire face à cette augmentation croissante de la population, il faudra apprendre à cohabiter ; éviter que les inégalités ne s’accentuent ; se partager les ressources ; s’adapter aux impacts du changement climatique sécheresses, fonte des glaces, inondations… ; faire face à de nouveaux enjeux sanitaires. Les jeunes interrogés sont conscients que les impacts négatifs de l’être humain sur l’environnement prendront du temps à s’effacer. C’est pourquoi ils veulent un changement de comportements immédiat. Vers une économie plus durable Une adaptation de nos modes de vie et de consommation est une des solutions imaginées pour faire face aux défis de 2050. Il faudra repenser l’économie pour la rendre plus durable, en privilégiant l’économie de proximité ; le retour au troc et aux échanges ; les circuits courts ; la relocalisation de certaines productions ; le travail social et utile aux autres. Lire la transcription détaillée de l’infographie Une économie plus durable, une mondialisation plus raisonnée » Toutes ces solutions envisagent de replacer l’humain au cœur des échanges et de l’économie. Un retour de la nature en ville Les jeunes se sont aussi questionnés sur l’habitat et ont imaginé comment sera la vie en ville en 2050. Selon eux, des espaces naturels devront être préservés et protégés afin de laisser les espèces animales et végétales les repeupler maintien de la biodiversité. Mais comment loger tout le monde si l’on n’étend pas les villes sur les campagnes ? Grâce à des villes à la verticale ! Les villes du futur seront densifiées et construites à la verticale. La nature y sera complètement intégrée avec des bâtiments végétalisés et des plantations sur les toits. La végétalisation de la ville répond aussi à une autre question comment nourrir ses habitants ? Avec l’agriculture urbaine, l’aquaponie ou encore les cultures hors sols, les citadins pourront produire leurs propres aliments. L’alimentation sera moins industrielle, plus naturelle et produite localement. Selon les jeunes, d’autres formes d’alimentation seraient possibles diminution de la consommation de viande ; une plus grande consommation de légumes ; des nouvelles sortes d’aliments farine d’insectes… Lire la transcription détaillée de l’infographie Urbanisation et retour à la nature » Des avancées technologiques au service du social Même si les jeunes envisagent un retour à l’agriculture traditionnelle, ils ne laissent pas de côté l’utilité des nouvelles technologies et imaginent un monde encore plus dépendant de ces outils. La robotisation permettrait d’accomplir de grandes choses, notamment dans le domaine médical. Au niveau éducatif, les nouvelles technologies permettront une transformation des méthodes d’apprentissage plus de pratique et moins de théorie ; des salles de classes plus connectées ; un apprentissage plus personnalisé. Pour les transports, les idées sont encore plus futuristes de plus en plus de transports hybrides ; des transports plus rapides et qui consommeront moins d’énergie ; moins d’avions en circulation dans le ciel ; moins de voitures en ville pour laisser plus d’espace aux vélos. Lire la transcription détaillée de l’infographie Des avancées technologiques au service d’une société plus sobre » Un futur qui donne du sens Toutes les idées proposées ont un point commun redonner du sens à nos sociétés et à nos échanges. Cela passe aussi par une meilleure connaissance du vivant apprendre à écouter la nature afin d’éveiller les consciences ; des autres se rattacher à une communauté et partager ensemble ; de soi par un développement personnel et spirituel plus important. Le lien entre le social et l’environnement doit être très fort afin de respecter la planète et ses habitants. Découvrir l’infographie reprenant toutes les idées des jeunes Cerapport de 2021 qui envisage le monde de 2040, était très guetté dans le contexte éprouvant du Covid-19. Il annonce des bouleversements, en une génération, comme aucune autre n'en a vécu jusqu'à lors dans l'histoire de l'humanité : dans le domaine du climat, de la connectivité, de la biotechnologie, de l'intelligence artificielle.

Dans cette crise du coronavirus, nous naviguons tous à vue. On se bat contre un ennemi que l’on ne connaît encore que trop peu. Nous ne savons pas, avec certitude, si le virus peut ou non être transmis par voie aérienne. Nous ne savons pas pourquoi les pays du Sud sont pour l’instant, et si l’on en croit les statistiques officielles, moins touchés par le Covid-19. Le virus est-il sensible à la chaleur ? Ces pays risquent-ils alors d’être plus ébranlés par une éventuelle deuxième vague qui surviendrait à l’automne ? Il n’y a pas de réponses scientifiques solides, pour le moment, à ces interrogations. Nous ne savons pas non plus combien de temps le coronavirus sera le maître absolu du temps et de l’espace dans nos vies. Que la crise dure encore quelques semaines ou plusieurs mois, si ce n’est plus, qu’elle fasse 100 000 morts ou plus d’un million, qu’elle touche massivement les pays les plus fragiles ou non, qu’un vaccin soit trouvé d’ici à l’automne ou pas avant un an, le jour d’après sera, c’est une évidence, bien différent. Les données sont si floues et tellement susceptibles d’évoluer au cours de ces prochaines semaines qu’elles doivent nous conduire à la prudence et l’humilité dans l’exercice de prospective. Autrement dit le monde de demain en l’état actuel des choses est encore, à l’instar de celui d’hier, celui de tous les possibles. Comme de nombreux commentateurs l’ont souligné, chacun voit dans la crise la confirmation de ses propres analyses. Celle-ci est si totale, elle remet tellement en question chaque aspect de nos vies, que toutes les thèses mais aussi tous les espoirs et toutes les angoisses peuvent venir se greffer dessus. C’est une page blanche à partir de laquelle les oracles de tous les camps prédisent, respectivement, la fin de la mondialisation, le retour des frontières, la mort de l’ultralibéralisme, le début de la domination chinoise, ou encore la victoire de Big Brother. On peut voir dans cette crise la revanche des politiques rationnelles et des sachants, tout comme on peut considérer qu’elle risque au contraire de les délégitimer encore plus, eux qui n’étaient pas préparés à y faire face, et donner du grain à moudre aux populistes. La droite dure y voit le renforcement des nationalismes et de la défiance envers ce qui lui est extérieur, la gauche radicale y voit la confirmation des fragilités d’une époque dominée par la logique des marchés, les collapsologues y voient la preuve de l’effondrement de nos sociétés, les écologistes y voient un signe de mère nature et l’occasion de rebâtir un monde plus vert, les fondamentalistes y voient un message de Dieu et un appel à un retour vers la foi, les internationalistes y voient la raison de renforcer la coopération internationale, les autres, souvent libéraux mais pas seulement, parfois gardiens du monde d’hier mais pas seulement, n’y voient rien d’autre qu’une crise sanitaire et espèrent un rapide retour à la normale.Lire aussi Coronavirus les personnalités décédées, hospitalisées, atteintesUn homme nouveau ? C’est parce que toutes ces dynamiques cohabitent, qu’elles se disputent le pouvoir, parce que le monde de demain sera tout aussi politique que celui d’hier et que toutes les idées seront dans l’arène, que l’avenir immédiat est, comme toujours, incertain. Les effets à moyen terme de la crise du coronavirus ne sont pas déterminés, non pas parce que nous ne disposons pas des instruments pour saisir le futur, mais parce que nous ne pouvons pas savoir comment les dirigeants – mais aussi les individus singuliers, les groupes sociaux et les acteurs économiques – vont réagir et agir, et encore moins interagir », écrit Nicolas Tenzer, président du Centre d’étude et de réflexion pour l’action politique Cerap dans un long article publié dans la revue Le Grand Continent et intitulé De la prudence aux temps du coronavirus ». Quelles dynamiques peuvent-elles l’emporter lors du jour d’après ? Les victoires idéologiques et politiques incarneront-elles des moments de rupture de sorte que, dans quelques dizaines d’années, on désignera cette crise comme un point de repère de l’entrée dans une nouvelle ère ? La crise du coronavirus est-elle une révolution susceptible d’enfanter un homme nouveau ? N’est-ce pas là une vision très utopiste de l’histoire ? Qu’est-ce qui empêchera, en effet, une fois la crise terminée, le retour du monde d’hier si ce n’est la contrainte ou, ce qui semble plus hasardeux, la révolution culturelle? Qu’est-ce qui nous empêchera, nous, citoyens d’un monde postmoderne biberonnés à la consommation de masse et qui circulons aussi vite et aussi souvent que les produits que nous adorons, de continuer de vivre comme si rien ne s’était passé ? L’homme a une incroyable capacité de résilience et d’oubli. C’est une de nos grandes misères nous ne sommes même pas capables d’être longtemps malheureux », écrivait Chateaubriand. On peut débattre sur le fait que la crise sonne le glas de la mondialisation ou du libéralisme à outrance, mais on peut dès lors affirmer, sans vraiment risquer de se tromper, qu’elle ne signera pas la mort de l’homme prométhéen même si, le temps d’un moment, elle l’affaiblit et lui montre l’illusion de sa croyance en sa toute-puissance. L’homme d’après la tempête ressemblera à bien des égards et à n’en pas douter à celui d’avant. Et c’est cet homme, ces hommes plutôt liés par une communauté peut-être inédite de destin qui décideront en fonction de leurs choix individuels et collectifs, en fonction des décisions que vont prendre les États démocratiques tout comme les régimes autoritaires, si la crise du coronavirus n’était qu’une parenthèse ou si elle marque la naissance d’un nouveau monde qui, quoi qu’il reste de l’ancien et quoi qu’on en pense, ne pourra pas faire complètement table ou compétition ? La crise du coronavirus a remis l’État au centre du village. L’État est celui qui protège et celui qui paye, celui qui décide et celui qui peut, au moins pendant la période de crise, ralentir le temps et contraindre l’espace. La crise est un test pour tous les États, dans leurs capacités à y répondre et à faire adhérer leurs populations à cette réponse. Les États seront sans doute les principaux décideurs dans le monde d’après, conformément ou non aux choix de leurs citoyens et surtout à leurs propres intérêts. C’est là que le bât blesse. On peut décréter dans des tribunes la fin de la mondialisation ou celle des énergies carbones, mais tous les États n’y ont pas intérêt et tous les citoyens au sein d’un même État non plus. Si le monde de demain est dominé par la Chine, on peut douter par exemple du fait qu’il soit celui de la démondialisation. Le degré de coopération entre les États va être l’un des facteurs les plus déterminants de l’après-crise. De cela dépendront l’aide aux États les plus fragiles, mais aussi la circulation de l’information et d’un éventuel vaccin. En l’absence d’un leadership américain, compte tenu de leur retrait volontaire, et alors que la crise bien que mondiale ne soit abordée – hors Union européenne – que d’un point de vue national, comment espérer que les États soient davantage dans une logique de coopération que de compétition ? Le fait d’être confronté à la même expérience au même moment peut-il renforcer la solidarité internationale, indispensable non seulement pour en finir avec le virus, mais pour affronter les grands enjeux du siècle, de la question écologique à celle du numérique et de l’intelligence artificielle ?Lire aussi Au XXIe siècle, des épidémies moins meurtrières qu'au XXe siècleTolstoï ou Dostoïevski À partir de là, on peut imaginer au moins deux scénarios pour l’avenir, l’un écrit par Tolstoï et l’autre par Dostoïevski, ces deux géants russes derrière lesquels le philosophe et écrivain George Steiner voyait deux visions diamétralement opposées du monde et de la destinée humaine, l’une épique, l’autre tragique. Dans le premier, c’est l’humanisme et la rationalité qui triomphent du combat contre le Covid-19 et des douleurs qui en résulte. Dans le second, ce sont les forces obscures qui l’emportent. Dans l’un, on espère un monde plus juste, plus respectueux de la nature, plus pacifique et plus humain. Dans l’autre, on craint au contraire qu’il soit encore plus injuste, plus indifférent au sort de la planète, plus conflictuel et plus inhumain. La bravoure et la générosité des soignants, la qualité de la réflexion intellectuelle, les signes d’amitié et les élans de solidarité nous font croire que l’avenir appartient à Tolstoï. La résilience de l’ancien monde, les égoïsmes primaires, les perspectives à venir d’États surendettés ou complètement faillis nous font penser qu’il sera celui de Dostoïevski. La pandémie du coronavirus va accélérer les tendances actuelles de l’histoire plutôt que de les remodeler », écrit Richard Haas, président du think tank Council on Foreign Relation dans la revue Foreign Policy. Confirmation du monde postaméricain et du déplacement vers l’Asie, défiance et critique envers la mondialisation, tentation des régimes autoritaires et des hommes forts, accentuation du poids de la technologie dans nos vies sont autant de dynamiques qui pourraient être renforcées par la crise du Covid-19. Si les visions de Tolstoï et de Dostoïevski ne peuvent jamais complètement triompher l’une de l’autre, la vie étant une tension permanente entre ces deux pôles, on peut considérer qu’à l’heure actuelle c’est plutôt le second qui domine. Bien que le pire ne soit jamais certain, il y a plusieurs raisons de penser que le monde de l’après-Covid-19, qui va hériter des tensions et des défaillances de l’ancien en y ajoutant une crise économique mondiale susceptible de fragiliser de nombreux États et d’encourager les comportements égoïstes, sera plus sombre que le monde d’ aussiA quelles conditions sortir du confinement?Coronavirus à Istanbul, la guerre du pain n'aura pas lieu

Pourpreuve, ce rapport de la CIA sur l’état possible du monde en 2020. C’est-à-dire demain. Montée de l’islamisme ? Déclin de l’empire américain au profit des puissances émergentes en Asie ? Incapacité de la vieille Europe à prendre son essor politique et à affirmer son autonomie ?
alexandre adler comment sera le monde de demain
Lesprévisions de la CIA pour le futur de la planète ne sont pas optimistes, loin de là. Le rapport de l'agence américaine, publié tous les quatre ans et LeRapport de la CIA : Comment sera le monde en 2020 ? de Alexandre Adler et d'autres livres, articles d'art et de collection similaires disponibles sur AbeBooks.fr. Passer au contenu principal. abebooks.fr. Chercher. Ouvrir une session Votre compte Panier Aide. Menu. Chercher. Votre compte Vos commandes Recherche avancée Collections Livres anciens Art & Collection Note: 4_5 13 avis sur Le Rapport De La Cia - Comment Sera Le Monde En 2020 ? de alexandre adler Format Poche - Livres Sciences politiques. Donnez votre avis et cumulez 1. Cumulez 1 en donnant votre avis. Votre note * : 1/5 2/5 3/5 4/5 5/5. Le titre de votre avis* : Quelques conseils : Donnez le ton de votre avis, résumez-le en quelques mots qui apparaîtront
Danssa préface au Rapport de la CIA, Alexandre Adler regrettait que « cette cartographie du futur n’ait pas d’équivalent aujourd’hui en Europe ». C’est désormais chose faite avec Le Monde en 2025. Cette enquête prospective passionnante, menée par l’Institut d’études de sécurité de l’Union européenne (IES-UE), a mobilisé ISBN: 9782221108963 . 29.95 $ Novembre 2007
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